collecte section Bourgogne

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La maladie de Lyme, le Tic-Tox et la Bioélectronique de Vincent (BEV)

La maladie de Lyme, le Tic-Tox et la Bioélectronique de Vincent (BEV) C’est une maladie bactérienne infectieuse aussi appelée Borréliose qui peut atteindre n’importe quel organe. Ses agents infectieux sont les borrélies qui sont des bactéries de forme hélicoïdales appelées spirochètes. La maladie peut évoluer sur plusieurs années, voir des décennies qui peuvent être entrecoupées par des périodes de latence.

La maladie est très complexe car souvent associée à d’autres infections provenant d’autres microorganismes qui forment des co-infections comme par exemple l’association avec d’autres bactéries, de protozoaires, de champignons ou de virus comme celui de la varicelle, de l’Epstein-Barr, cytomégalovirus, etc..

Le problème est que cette maladie même traitée par antibiotiques, peut réapparaitre sous forme chronique ce que n’admet pas la France qui a décidée une fois pour toute que toute chronicité de la maladie de Lyme n’existe pas. Ce qui est inquiétant c’est que cette maladie peut engendrer n’importe quels symptômes divers et variés en plus changeants ce qui rend le diagnostic extrêmement difficile. Elle est appelée la “grande imitatrice” qui peut simuler n’importe quelle autre maladie connue. Pour cette raison le diagnostic peut souvent être faussé. En plus il est difficile de la détecter d’une façon fiable. Pour cette raison le diagnostic doit reposer avant tout sur l’examen clinique.

Autre élément important et perturbant, sous sa forme chronique les symptômes apparaissent et disparaissent selon que le malade est dans un bon ou mauvais jour. On n’a toujours pas d'explication crédible à ce phénomène. Ce curieux comportement fait que, souvent, ces malades sont taxés de malades psychiques. Or il n’en est rien. Des spécialistes pensent même qu’un certain nombre de malades atteints de fibromyalgie ou de fatigue chronique sont en réalité des malades mal diagnostiqués car infectés par une maladie de Lyme.

Selon le ministère de la santé on estime que 180 habitants sur 100.000 sont contaminés en Alsace, Lorraine, Limousin et Auvergne et 9,4 cas sur 100.000 habitants dans le reste de la France. Cette estimation est basée sur les cas détectés par le test “Elisa”. Or si on se base sur le test “Western Blot” le nombre de cas est phénoménalement augmenté. Le professeur Luc Montagnier, Prix Nobel, parle de véritable épidémie mondiale et de nombreuses neuroborréliose sont à prendre au sérieux.

Les autorités compétentes exercent actuellement une importante pression sur certains laboratoires strasbourgeois. Toutes ces histoires font de grosses vagues parmi la population. Cette véritable chasse aux sorcières commence à bien faire. En l’espace de 2 mois voilà 3 affaires qui font la une des sites internet et dans les différents médias de la région strasbourgeoise. En attendant des malades de toute la France sont complètement consternés et se sentent abandonnés.


L’affaire du “Tic-Tox”, Strasbourg dans le collimateur des autorités

Le laboratoire “Nutrivital” de Mundolsheim dans le Bas-Rhin, proche de Strasbourg, dont le directeur n’est personne d’autre que le Dr. en pharmacie Bernard Christophe était le fabricant d’un complexe d’huiles essentielles : le “Ti-Tox” qui était en vente libre jusqu’à présent et servait comme produit pour le traitement de la maladie de Lyme.

Le 27 janvier 2012 paraissait au journal officiel la surprenante décision de l’AFSSAPS (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé) : le “Tic-Tox” venait d’être interdit de vente et retiré du marché. Ce séisme atteignait tous les malades atteints de Borréliose chronique qui n’avaient déjà pas beaucoup de choix pour leurs traitements et voilà que l’on leur enlève en plus un traitement de choix.

Ce dernier est considéré par l’AFSSAPS comme étant un produit thérapeutique n’ayant pas d’AMM. (Autorisation de Mise sur le Marché). Bien que le Dr. Bernard Christophe ait corrigé sa formule à la demande de l’AFSSAPS il y a un an, il n’a pas trouvé grâce à leurs yeux et ceci probablement à la suite de sa plainte auprès du Procureur de la République contre deux experts, un laboratoire français, l’AFSSAPS et l’Ordre des médecins “pour non assistance à personnes en danger”. Etait-il trop vindicatif ? Probablement oui, car il pointe du doigt tout un système officiel du déni, experts en tête. Cela est insupportable aux yeux des autorités ! C'est la goutte qui a fait déborder le vase.

Que lui reproche-t-on ? Dans la composition du “Tic-Tox” il utilise une huile essentielle de sauge officinale “Salva officinalis”.

Une huile essentielle peut renfermer plusieurs centaines de molécules différentes. Le composé incriminé dans la sauge est le thuyone que l’on trouve aussi dans l’absinthe.

Il ne suffit pas de la présence d’une molécule dans une composition d’un produit pour le rendre dangereux mais bien du dosage pour confirmer sa toxicité effective.

Par ailleurs le Dr. Bernard Christophe démontre, nombreuses preuves à l’appui que le “Tic-Tox” utilisé depuis des années sur des milliers de malades n’est absolument pas toxique. En 15 ans de commercialisation le “Tic-Tox” n’a jamais provoqué un seul effet secondaire.

Mais la loi est la loi et nul ne peut la contourner, même s'il lui arrive d'être absurde.

Soyons quand même clair, le Dr. Bernard Christophe a aussi beaucoup d’arguments intéressants à faire valoir qui plaident en sa faveur. Si la situation n’était pas aussi sérieuse on pourrait croire à une grosse blague et conseiller à la population de ne surtout jamais cultiver de sauge dans son jardin car elle risque gros, la sauge étant toxique !

Jamais l’AFSSAPS n’a vérifié les effets bénéfiques du “Tic-Tox” sur des malades atteints de la maladie de Lyme. Comme d’ailleurs le conseil de l’ordre des médecins n’a jamais interrogé un seul malade sur les bénéfices ou éventuels effets secondaires constatés. La décision a été prise à l’aveuglette en se basant uniquement sur les textes de loi.

Signalons que l’huile essentielle de sauge pure est soumise à prescription et ordonnance. On suppose donc en interdisant le “Tic-Tox” qu’un médecin sera incapable de prescrire de l’huile essentielle de sauge ! Pourtant, normalement les produits phytothérapeutiques ne sont pas des médicaments et n’ont pas besoin d’AMM. La directive européenne THMPD (Traditional Herbal Medicinal Products Directive), ou directive 2004/24/EC, entrée en application le 30 avril 2011, va dans ce sens pour les produits naturels. La polémique reste donc entièrement ouverte et personne ne connaît le fin mot de l’histoire pour l’instant. Toujours est-il que le “Tic-Tox reste actuellement interdit de vente en France et les malades dépourvus de l’un des seuls produits actifs existant sur le marché français pour traiter la Borréliose.

La revue Prescrire pose bien la question d’une recherche indépendante des petites firmes plus proche des patients. Mais que peut faire un petit labo comme “Nutrivital” face aux géants pharmaceutiques ?


L’affaire du test de Lyme “Wersten Blot” (WB)

La biologiste strasbourgeoise Mme Viviane Schaller pratiquait comme tous les laboratoires d’analyses de biologie humaines français le test de Lyme selon la méthode “Elisa” (Enzym-Linked Immuno Sorbent Assay) qui est un test quantitatif qui évalue la concentration d’anticorps dans le sang. Ce test est peu couteux mais aussi peu précis.

L’Alsace en particulier étant très touchée par cette maladie, un certain nombre de médecins remarquèrent que beaucoup d’analyses étaient négatifs tandis que les patients présentaient pourtant tous les symptômes de la maladie. A leur demande Mme Schaller chercha un test plus efficace et d’une sensibilité plus fine et le trouva chez nos voisins allemands : le “Western Blot” (All-Diag de Mikrogen). Ce test qui lui est qualitatif est obtenu par biologie moléculaire de dernière génération et permet de préciser quelle souche bactérienne est en cause et son degré d ‘infection. Même s’il est nettement plus précis que le test “Elisa” il n’est pas d’une fiabilité totale mais c’est déjà une très belle avancée.

Quand on utilise le test “WB” oh surprise, beaucoup de patients peuvent être négatifs au test “Elisa” et positifs au “WB”. De plus ce dernier test présente la particularité de pouvoir faire la différence entre 6 variétés de souches bactériennes différentes et, chose intéressante et surtout importante, ciblées sur les souches que l’on trouve en Europe. Chaque variété présentant des symptômes différents : articulaires, musculaires, neurologiques, cutanés, etc.. Ainsi elle a détecté des milliers de cas positifs à travers l’hexagone non reconnus officiellement. Cela devait être la fin de l’errance médicale pour les malades. Malheureusement cette constatation était inadmissible par les autorités médicales.

Naturellement cette histoire commença à faire jaser et à faire des jaloux. En plus, des milliers de malades veulent subitement se faire soigner pour une maladie officiellement non reconnue comme maladie chronique. Imaginez le coût que représente une telle opération ! Il fallait donc vite mettre fin à cette technique de sérodiagnostic “avant-gardiste” mais “non validé d’après les autorités”. Plus de tests sensibles “Western Blot” autorisés, plus de maladies chroniques !C’est aussi simple que cela ! Seulement voilà, énormément de pays dont nos voisins allemands utilisent le “WB” à leur entière satisfaction et ne jurent que par ce dernier.

Que s’est-il passé ? Sur proposition du directeur général de l’Agence Régionale de Santé d’Alsace, le préfet a tout simplement suspendu pour 1 mois l’activité du laboratoire de biologie médicale de Mme Viviane Schaller à partir du 11 février 2012 en application de l’article R-6211-14 du code de la santé publique indique l’ARS (Agence Régionale de la Santé d'Alsace) dans un communiqué. Laboratoire fermé pour 1 mois, point barre. Décision prise sans aucune contre-expertise pratique sérieuse, objective et surtout contradictoire. Décision prise à l’aveuglette pour “non validée” par les autorités.

Pour quel motif a-t-on fermé ce laboratoire ? “En raison d’erreurs sur les résultats de tests diagnostics de la maladie de Lyme” avec obligation de n’effectuer dans le futur uniquement que des analyses faites avec le test officiel admis en France : le test “Elisa” moins précis que le “Western Blot” Pour rester totalement honnête ajoutons que l’autorité lui a encore trouvé des broutilles concernant le fonctionnement de son laboratoire dans des conditions d’hygiène et de conformité des locaux non conformes. Je vous laisse apprécier les reproches. Il fallait bien trouver des arguments supplémentaires pour la noyer complètement.

Je connais Mme Schaller pour sa compétence, son sérieux, son fonctionnement consciencieux et son honnêteté. C’est une biologiste qui a mené pendant des années durant de longues recherches sur la maladie de Lyme et qui a une connaissance fine du problème. Elle œuvre uniquement pour le bien-être des malades. Si elle a fait le choix du test de “WB” elle l’a fait en toute connaissance de cause après s’être longuement documenté et renseigné sur l’efficacité de ces tests plus sensibles.

“Lyme” comme “VIH–Sida” même problème, même combat : “Elisa - Western Blot” Nous sommes en présence des mêmes interrogations. Des tests positifs par ci, d’autres négatifs par là. (Nexus N° 79 mars-avril 2012)

Ancien professionnel de la santé je ne suis pourtant pas expert en la matière pour me permettre un jugement sur la fiabilité de l’un ou l’autre de ces deux tests même si j’ai mon opinion sur la question. Je souhaite simplement et demande avec insistance que les autorités compétentes diligentent rapidement une expertise “indépendante” et “impartiale” permettant de clarifier la situation. J’insiste sur les termes “Indépendante” et “impartiale” car trop d’expertises sont actuellement tronquées par des conflits d’intérêts. Il est inadmissible de fermer un laboratoire sur des présomptions alors qu’une grande partie de l’Europe et du monde utilise le test “WB”.

Je serais très, très étonné à la vue de la méticulosité et de la rigueur allemande que ces derniers aient autorisé officiellement depuis des années la mise sur le marché du test “Western Blot” dans leur propre pays et sa diffusion mondiale.

Pour différentes raisons, dont sa précision, la DBG, Deutsche Borreliose Gesellschaft (Société allemande de la Borréliose), composée de scientifiques et médecins, privilégie le “WB”.

On ne peut pas croire une seule seconde que la totalité des malades atteints de la maladie de Lyme, diagnostiqués par le test “WB”, aient été mal diagnostiqués à travers le monde. Cela me semble totalement invraisemblable comme argument. Il est vrai que dans tous les domaines de la santé les conflits d’intérêts ont un énorme impact et qu’il est très difficile, voir utopique, de vouloir demander une harmonisation en Europe. Il s’agit en toute objectivité certainement d’un pur débat économique.

Nous sommes en droit de nous poser une question au sujet de cette affaire. Les experts diligentés par les autorités dans cette dernière et qui a conduit à la fermeture provisoire du laboratoire de Madame Schaller sont-ils impartiaux et surtout indépendants dans leurs décisions ? Ont-ils vraiment tous déclinés avec véracité leurs relations avec d’éventuels labos ou entreprises fabricant le test “Elisa” ? Y-a-t-il eu conflit d’intérêts à n’importe quel niveau ? Les malades ont le droit de savoir la vérité.

L’affaire du Tic-Tox et celle du labo Schaller… une étonnante coïncidence ?


L’affaire de l’analyse en “bioélectronique de L. Cl. Vincent” (BEV)

Dernière affaire en date à Strasbourg. Le 13 mars 2012 l’équipe du laboratoire de biologie médicale de la Meinau à Strasbourg me fait parvenir le message suivant :

“Notre laboratoire est engagé dans une démarche d’accréditation et, de cet fait, soumis à des normes. Or la réalisation des bilans BEV n’entre pas dans le cadre de la réglementation que l’on nous impose. Nous sommes donc dans l’obligation d’arrêter l’exécution de ces analyses”.

Le COFRAC (Comité Français d’Accréditation) est l’organisme accréditeur national qui établit les références en biologie médicale, leur conformité et délivre les accréditations ISO/CEI 17000.

Malicieusement on n’interdit pas de pratiquer cette analyse mais le laboratoire qui la pratique n’obtient pas l’accréditation. Or sans accréditation vous n’avez pas le droit d’exercer et devez mettre la clef sous la porte. Imparable comme argument pour éviter la pratique d’une analyse complémentaire de terrain qui a rendu de grands services dans toutes les maladies y compris les maladies chroniques et graves. Excellente analyse préventive et de suivi de thérapie. C’est joué très finement et très subtilement de la part du COFRAC pour éliminer tout ce qui ne va pas dans le sens officiel. Ainsi la BEV en biologie humaine va s’éteindre tout doucement, toute seule et mourir lentement de sa propre mort sans faire de bruit. C’est absolument consternant ce qui se passe en France.

Ainsi nous verrons probablement disparaître prochainement d’autres analyses du même type qui ne figurent pas sur la “liste officielle” !! Quelques rares médecins et thérapeutes français pratiquent encore eux-mêmes cette même analyse mais pour combien de temps encore ? Seront-ils astreints à ces mêmes obligations ? C’est beau de vouloir aider les malades au maximum mais encore faut-il avoir la permission de le faire !

Nous sommes en droit de nous poser des questions quand à la liberté en France. Alors que l’Allemagne vient de se voir permettre le remboursement des médecines complémentaires, la France devient de plus en plus draconienne vis à vis des médecines et analyses complémentaires qui ont plus de 60 ans d’âge en ayant fait leurs preuves en médecine officielle.

Le professeur Louis Claude Vincent, inventeur de la BEV et un des nombreux chercheurs français de génie, doit se retourner dans sa tombe s’il sait ce qu’il est advenu de son extraordinaire découverte alors qu’à l’étranger la méthode Vincent est pratiquée à grande échelle. Nul n’est prophète en son pays.


Le peuple n’accepte plus les décisions dictatoriales

La France se distingue encore une fois par sa sévérité et la dureté de la mise en application de textes devenus obsolètes qui ne profitent qu’aux lobbies de la santé officielle. Quand je pense que l’ex président de la république M. François Mitterand avait en son temps, dans son programme électoral, manifesté le souhait de transformer, voir de supprimer l’ordre des médecins en donnant la possibilité d’existence aux thérapies complémentaires sérieuses, je me dis que la France est gouvernée par un immobilisme sclérosant. Il ne faut surtout rien faire bouger. Cela satisfait nos autorités académiques qui sont heureuses de ne pas être dérangées dans leurs aises et les doctrines officielles. En plus nos businessmens peuvent continuer à dormir sur leurs deux oreilles, leurs affaires marchent bien. Elles continuent à fructifier au détriment des malades et maladies. En finalité, la maladie une très une bonne affaire bien florissante et bien juteuse !

Contrairement à la pensée dominante le Pr. Luc Montagnier est convaincu que la maladie de Lyme peut dégénérer en infection chronique et qu’à ce titre, elle doit être prise au sérieux. Le Pr Luc Montagnier mondialement reconnu, biologiste, virologue et Prix Nobel de médecine en 2008 disait le 2 mars 2012 à l’UNESCO à Paris : "Le monde entier est infecté par la maladie de Lyme" et j’ajoute : “et la France ose traiter l’importance de ce problème par la négation, cela est triste à pleurer” C’est hautement inadmissible.

Le ménage à l’AFSSAPS n’a été fait qu’à moitié. L’industrie pharmaceutique blessée réagit violemment. Les actionnaires et trusts financiers du large domaine de la santé essayent de tout verrouiller et y mettent le prix.

Tous ces événements sont très graves aussi bien pour les malades que pour leurs médecins qui avaient enfin trouvé la solution pour diagnostiquer cette maladie que dont on veut nous cacher l’extension et la réalité.

Le crime de Mme Schaller, avoir osé utiliser un sérodiagnostic avant-gardiste par biologie moléculaire alors que nos vieux grognards mènent un combat d’arrière garde avec un test estimé dépassé à l’étranger. Elle est largement pardonnée par tous les malades dont j’en fais partie, qui avaient été méprisés jusqu’à maintenant et traités de malades psychiques. Quel bonheur de pouvoir mettre enfin un nom sur sa maladie. Mme Schaller nous a tous largement aidé par son travail de pointe et nous la remercions vivement.

Toutes ces affaires sont d’autant plus troublantes et stupéfiantes que le test “WB” était facturé au même prix que le test “Elisa”. En outre, le test “WB” revenait plus cher à Mme Scahller. Le Tic-Tox et le bioélectronigramme n’ont jamais été remboursés et toujours payés par les patients eux-mêmes.

Cela prouve s’il le fallait encore le démontrer que la doctrine officielle cherche à éliminer par tous les moyens toutes les médecines complémentaires. Le malade compte peu, l’essentiel est le règne du profit financier.

Le système médical français dans son ensemble semble être au bord de la rupture. Il va bien imploser un jour ou l’autre. Nous vivrons un second séisme du type mur de Berlin qui s’est effondré en une seule nuit. Le peuple n’accepte plus les décisions dictatoriales de nos autorités sanitaires submergées par les différentes affaires de ces derniers temps. Nous avons raté une belle occasion lors des élections présidentielles. Je déplore le silence assourdissant des associations de malades ou de celles qui défendent les médecines naturelles et complémentaires lors de cette élection pour se faire entendre et monter au créneau. A ma connaissance aucun des candidats à la présidentielle ne s’est prononcé sur ce sujet vital.


Que faire ?

Demander avec insistance aux autorités compétentes qu’elles instaurent une prévention active. Une intense recherche indépendante et impartiale sur la maladie de Lyme et sa détection par des analyses sanguines fiables est urgente.

La situation est grave. Le problème est important mais non désespéré. A moins d’un miracle les autorités ne vont probablement pas revenir sur leurs décisions dans les prochains temps. Par contre je sais par des indiscrétions que des médecins et biologistes français sont à la recherche d’une solution côté allemand ou les patients pourront commander les analyses et trouver les produits adéquats. Il est encore trop top pour en parler.

Richard HAAS
17 03 2012



Si vous êtes atteint de la maladie de Lyme et que vous voulez apporter votre témoignage personnel à Mme Schaller, adressez-le au Laboratoire Schaller, 16 rue Oberlin, 67000 Strasbourg en respectant les données ci-dessous.



https://docs.google.com/open?id=0BwrG-ReED-XGOWRITWtPd0JSWXE3Qnl0ZTA1U29Ndw


Sachez quand même que : chaque personne concernée peut rédiger un témoignage sur feuille libre ou pré-imprimée comme celui ci-dessus.

Ce témoignage racontera votre parcours, vous y mettez votre vécu en tant que malade de Lyme et mentionnez ce que vous a apporté le Labo Schaller. Vous pouvez écrire ce témoignage sur votre ordinateur et l'imprimer. Pour que ce témoignage soit valide, il faut également que vous y écriviez de votre main (donc en manuscrit) la phrase suivante: "Est puni d'emprisonnement et de 15.000€ d'amende le fait d'établir une attestation ou un certificat faisant état de faits matériellement inexacts". Enfin, ce témoignage doit être accompagné de la photocopie recto-verso de votre pièce d'identité, sur laquelle on peut clairement déchiffrer votre signature.



Par contre pour soutenir l’action “Borréliose de Lyme : révision des protocoles de détection de diagnostic et de soins” vous pouvez signer la pétition en ligne ci-dessous :


http://www.mesopinions.com/Borreliose-de-Lyme--revision-des-protocoles-de-detection-de-diagnostic-et-de-soins-petition-petitions-c53d39736ee2572b7660bad4335edd92.html






Dernière minute : sanctions pour Mme Schaller
Le 16 mars 2012 Mme Schaller vient d’apprendre par courrier qu’elle a été sanctionnée. La section des Assurances sociales du Conseil Central de la Section G de l’Ordre National des Pharmaciens Biologiste a prononcé la sanction suivante : “Interdiction de servir des prestations aux assurés sociaux pendant une durée de 12 mois. Cette sanction fera l’objet d’une publication”.  Mme Schaller et son avocat on fait appel. Cet appel est suspensif et la suspension peut se prolonger “Sine die”. En attendant elle pourra continuer à exercer avec une épée de Damoclès sur sa tête. Les malades sont abasourdis par cette hallucinante sanction.







Bibliographie

Maladie de Lyme : itinéraire d’une malade pour retrouver la santé
Albertat Judith - Editions Thierry Souccar

Nombreux documents et études scientifiques disponibles sur internet :

http://www.dna.fr 17-02-2012


http://www.reseauborreliose.fr/index.php/


http://www.lyme-sante-verite.sitew.com/


http://www.borreliose-gesellschaft.de/de/DieDBG


http://tre.emv3.com/HM?a=ENX7CkLoAuP58SA9MOBkWt7nGHxKXIhmLPcStGb5lw8W0bBhOG5mpqVsje_HheH4UFys


http://www.youtube.com/user/lymesanteverite/videos?view=1


NB. Si les sites ne s’ouvrent pas, faites un copié-collé dans Google.