Atteinte de la borréliose chronique persistante , babesia et bartonella ; le déni est grand , battons nous pour la faire connaitre la borréliose de lyme et ses coinfections ; 8 ans de bi et tri therapies d'antibiotiques auxquels j'ai ajouté une partie du protocole Buhner et autres http://francelyme.fr
collecte section Bourgogne
Pathogens Manipulating Tick Behavior—Through a Glass, Darkly
10 years of headaches, vertigo and other pains dismissed as "depression"
another Lyme warrior has lot her battle :(
https://www.legacy.com/obituaries/northjersey/obituary.aspx?n=jamie-r-quantmeyer&pid=196644634&fhid=10693
Matt Dawson health: Rugby star underwent heart surgery after being bitten - symptoms
Maladie de Lyme, prise en charge menacée à Lannemezan
Maladie de Lyme, prise en charge menacée à Lannemezan
Une décision de la directrice de l'hôpital de Lannemezan met en danger la prise en charge de la maladie de Lyme dans la région de Tarbes à Toulouse
Le 14 août 2020, Mme Gayrard, directrice de l'hôpital de Lannemezan, a
informé le Dr Ghozzi qu'il était relevé de ses fonctions de responsable
de l'unité fonctionnelle de médecine interne et polyvalente de
l'hôpital. Elle n'a donné aucune justification à cette décision.
Outre sa responsabilité dans ce service, le Dr Ghozzi est aussi référent
d'un Centre de Compétence pour la maladie de Lyme qui reste à organiser
sur la structure existante du service de médecine interne des hôpitaux
de Lannemezan.
En juillet 2019, la création de 5 Centres de Référence (CR) a été
décidée au niveau national dans le cadre du Plan national de prévention
et de lutte contre la maladie de Lyme. Ces CR doivent travailler en lien
avec les Centres de Compétence (CC) hospitaliers de la zone. Les CC ont
la responsabilité de la prise en charge des cas complexes de maladie de
Lyme, c’est-à-dire les cas non résolus par une première prise en
charge.
Le 1er janvier 2020, l'hôpital de Lannemezan a été reconnu comme CC pour
un bassin allant de Tarbes à Toulouse, incluant le Gers, le Lot, le
Tarn, le Tarn et Garonne et l’Ariège. Cependant, aucune dotation
spécifique n'est attribuée aux CC, qui doivent s'appuyer sur le service
hospitalier dans lequel exerce le référent du CC et le renforcer.
Actuellement, le CC de Lannemezan s'appuie sur le service de médecine
interne de l'hôpital, impliquant une vingtaine de personnels soignants
pour autant de lits d’hospitalisation. Son budget consolidé peut être
estimé à 10 millions € par an.
Si la décision de Mme Gayrard était maintenue, le CC de Lannemezan
s'appuierait désormais sur une structure extrêmement réduite, dépourvu
de lit, donc sans capacité réelle et directe d'hospitalisation
prolongée, et dont le personnel hospitalier ne comprendrait pour le
moment qu’un seul agent médical et un personnel paramédical réduit. Soit
un budget consolidé environ 50 fois plus faible que celui du service de
médecine interne et polyvalente jusque-là dirigé par le Dr. Ghozzi.
Dans de telles conditions, le CC de Lannemezan devra réduire son activité du même ordre de grandeur.
La décision de Mme Gayrard reviendrait donc à une quasi-cessation d'activité de ce Centre de Compétence Lyme, ainsi qu’à un affaiblissement du service de médecine interne avec de lourdes conséquences sur la prise en charge des patients souffrant de la maladie de Lyme, mais aussi d’autres pathologies complexes, dans la zone couverte par l’hôpital de Lannemezan.
La loi « Hôpital, Patients, Santé et Territoires » du 21 juillet 2009, dite loi Bachelot, prévoit la procédure de retrait d’emploi dans l’intérêt du service. Cela signifie que les réorganisations internes peuvent être décidées par le chef d'établissement, mais elles doivent être réalisées en vue de l'intérêt général de l'établissement et de la population.
Étant donné les conséquences inévitables de la décision de Mme Gayrard sur la prise en charge des patients souffrant de la maladie de Lyme, il importe que soit explicité en quoi sa décision concernant le Dr Ghozzi est effectivement dans l'intérêt du fonctionnement du service de médecine interne de l'hôpital, et dans celui de la prise en charge des cas complexes de maladie de Lyme.
Pour pouvoir maintenir cette décision concernant une problématique majeure de santé publique, Mme Gayrard devra en démontrer le bénéfice aux autorités compétentes (Ministère des Solidarités et de la Santé, Agence Régionale de Santé), à la Commission Médicale d'Établissement, et, bien entendu, au médecin concerné par cette décision, ainsi qu’à l’ensemble des associations de patients, chercheurs et médecins qui apportent leur soutien au Dr Raouf Ghozzi.
Le Conseil d’Administration de la FFMVT
Chronic Lyme disease is a rare, but serious condition — here's how to know if you have it
SOUTIEN AU DOCTEUR RAOUF GHOZZI ! plesase sign our petition
Rappel; il est urgent que les malades de Lyme et leurs proches signent
cette pétition. L'enjeu est primordial. Il faut que chacun se mobilise ,
ce n'est pas anecdotique, alors, signez et faites signer dès ce soir:
https://www.change.org/p/soutien-au-docteur-raouf-ghozzi
SOUTIEN AU DOCTEUR RAOUF GHOZZI !
Vendredi 14 août au matin, jour de son départ en congés, le Dr. Raouf Ghozzi, médecin interniste, responsable depuis bientôt 10 ans de l’Unité fonctionnelle de médecine générale des Hôpitaux de Lannemezan (65), Président de la Fédération Française contre les Maladies Vectorielles à Tiques et responsable d’un Centre de compétence pour les maladies vectorielles à tiques, a été convoqué par Mme Gayrard, Directrice de l’hôpital, qui lui a tendu un courrier le relevant de sa responsabilité l’Unité fonctionnelle.
Le Dr. Ghozzi a naturellement refusé de réceptionner ce courrier, demandant en retour s’il avait commis des fautes, ou s’il existait des manquements dans le fonctionnement du Service de médecine générale. Aucun élément, aucune motivation, n’a pu être avancé par l’administratrice.
Rappelons que le Dr. Ghozzi est l’un des principaux interlocuteurs des instances de l’État, s’agissant de l’épidémie de maladies vectorielles à tiques, notamment pour la maladie de Lyme et ses co-infections responsables de syndromes infectieux persistants pour lesquels il n’existe toujours pas en France de tests ni de prise en charge satisfaisants. Ainsi, intervient-il auprès de la Haute Autorité de Santé, de la Direction Générale de la Santé, de l’Assemblée Nationale, ou encore du Sénat.
En s’attaquant à l’un des médecins les plus en vue dans la réflexion sur la maladie de Lyme, on affaiblit considérablement, et de façon incompréhensible, le dispositif de lutte contre cette maladie et la prise en charge des patients atteints de cette pathologie particulièrement complexe.
Les signataires, patients, familles de patients, médecins, chercheurs et toutes personnes concernées par la sévérité de cette maladie, demandent expressément le maintien du Dr. Raouf Ghozzi dans ses fonctions de responsable de l’Unité fonctionnelle de médecine générale des Hôpitaux de Lannemezan.
Associations signataires :
Autan-Tique Lyme
Chronilyme
Enfance Lyme and Co.
Fédération Française contre les Maladies Vectorielles à Tiques
France Lyme
Lympact
Relais de Lyme
Vaincre Lyme
P.S. de la FFMVT : Nous appelons tous les malades de Lyme à transmettre leurs témoignages au siège de la Fédération Française des Maladies Vectorielles à Tiques à : contact@ffmvt.org. Nous les ferons parvenir aux Instances de santé, en même temps que les résultats de la pétition. Merci.
Here is an example of a poorly written article in a major medical journal that misinforms health care practitioners about Lyme disease.
Here is an example of a poorly written article in a major medical journal that misinforms health care practitioners about Lyme disease. My response?
Most patients DO NOT get an EM rash. More than half do
not look like a bulls-eye. Ticks can transmit multiple infections if
they have had partial feeding and can transmit infections in as little
as 5-15 minutes (Relapsing fever, rickettsia, Powassan v.). Disseminated
LD requires more than 21 days of antibiotics, especially if there is
peripheral nervous system or central nervous system involvement.
This type of article, which regurgitates the same misinformation we have
been listening to for decades, is part of the reason so many get ill.
Here are the scientific assertions and references backing up my
assertions (excerpted from an article I am working on):
Tick
bites can result in a wide variety of illnesses with diverse clinical
manifestations. These can range from asymptomatic early presentations of
an erythema migrans rash (EM), to symptoms resembling viral prodromes
with fevers, sore throats, swollen glands, and headaches followed by the
acute onset of a fatiguing, musculoskeletal illness with
neuropsychiatric manifestations (15) . Malarial-type presentations with
drenching sweats, chills, flushing, and cough with respiratory distress
with or without hemolytic anemia can be associated with babesiosis (16),
while gastrointestinal manifestations with transaminitis, nausea,
vomiting, abdominal pain and diarrhea can be seen with tick-borne
diseases including LD, RF, BMD, HGA, HME, RMSF, Q-fever, tularemia and
POWv (17 18 19 20). Acute onset of neurological symptoms can be seen
with most tick-borne diseases (LD, RF, BMD, HGA, HGE, RMSF, Q-fever,
tularemia, babesiosis, POWv, TBEV) (21 22 23 24), while neuroinvasive
POWv can result in particularly severe central nervous system
manifestations with a meningitis and encephalitis occurring after an
initial febrile illness with a sore throat, drowsiness, headache and
disorientation (16).
The truth is much more complex and nuanced than
discussed in the BMJ article and co-infections are a major player in
many with symptoms of chronic LD.
15. Bratton RL, Whiteside JW,
Hovan MJ, Engle RL, Edwards FD. Diagnosis and treatment of Lyme disease.
Mayo Clin Proc. 2008;83(5):566-571.
16. Policy (OIDP) O of ID and H. Babesiosis and Tick-Borne Pathogens Subcom Report to the TBDWG. HHS.gov. Published January 23, 2020. Accessed March 1, 2020.
17. Horowitz HW, Dworkin B, Forseter G, et al. Liver function in early Lyme disease. Hepatol Baltim Md. 1996;23(6):1412-1417.
18. Zaidi SA, Singer C. Gastrointestinal and hepatic manifestations of
tickborne diseases in the United States. Clin Infect Dis Off Publ
Infect Dis Soc Am. 2002;34(9):1206-1212.
19. Telford SR, Goethert
HK, Molloy P, et al. Borrelia miyamotoi disease (BMD): Neither Lyme
disease nor relapsing fever. Clin Lab Med. 2015;35(4):867-882.
20. Fatmi SS, Zehra R, Carpenter DO. Powassan Virus—A New Reemerging Tick-Borne Disease. Front Public Health. 2017;5.
21. Bransfield RC, Aidlen DM, Cook MJ, Javia S. A Clinical Diagnostic
System for Late-Stage Neuropsychiatric Lyme Borreliosis Based upon an
Analysis of 100 Patients. Healthcare. 2020;8(1):13.
22. Office of HIV/AIDS and Infectious Disease Policy AS for H (ASH). Report of Other TBDS and Co-Infections Subcommittee. HHS.gov. Published May 9, 2018. Accessed May 21, 2018.
23. Kofteridis DP, Mazokopakis EE, Tselentis Y, Gikas A. Neurological
complications of acute Q fever infection. Eur J Epidemiol.
2004;19(11):1051-1054.
24. Usmani-Brown S, Halperin JJ, Krause PJ.
Neurological manifestations of human babesiosis. Handb Clin Neurol.
2013;114:199-203.
Climate change can have other impacts on zoonotic disease transmission
from Dr. Richard Horowitz
Many individuals have speculated on how and why COVID-19 arose, causing such widespread suffering. A report released by the United Nations Environment Programme (UNEP) and the International Livestock Research Institute (ILRI) last month makes the case for focusing on the causes of pandemics instead of just treating the diseases as they emerge.
"Three-quarters of emerging illnesses come from animals and a new report identifies climate change as a primary driver of many of them....insects are exquisitely sensitive to environmental changes," said Akselrod, pointing out that Lyme disease is another zoonosis that shows signs of a climate change-driven spread. As the world warms, ticks have moved northward from New England into Canada".
"Climate change can have other impacts on zoonotic disease transmission, Randolph said. It "makes people more vulnerable, and more vulnerable people are poorer and less able to seek and pay for health care and to take good good care of themselves and their children...history clearly shows this trend...the people who don't have access to resources to control their surroundings and their own lives have been on the deep end of every epidemic through the ages," she said."
If we are to protect ourselves and our loved ones from future pandemics, we must focus on the causes. The increase in Lyme disease and TBD's have been proven to be related to changes in our climate. That was the basis of Mary Beth Pfeiffer's book "Lyme: The First Epidemic of Climate Change". If new viruses emerge in the future (and they will) we must also focus on the biology/biochemistry of how viruses affect the body.
We can not shut down economies and
funnel billions of dollars into vaccine development each time a new
virus appears. Viruses like COVID enter the body through ACE2 receptors
and turn on the viral machinery through oxidative stress. The
nutritional supplements like NAC and glutathione discussed in my two
publications have disulfide bonds that may help slow viral entry into
the cells and help suppress oxidative stress and cytokine formation,
shutting down the virus (based on prior published scientific research).
Here are a few resources:
1. Evidence for antiviral activity of
glutathione: in vitro inhibition of herpes simplex virus type 1
replication. Palamara AT, et al.
Antiviral Res. 1995 Jun;27(3):237-53
2. Antiviral and immunomodulatory properties of new pro-glutathione (GSH) molecules. Fraternale A, et al. Curr Med Chem 2006
3. GSH and analogs in antiviral therapy. Fraternale A, et al.
Mol Aspects Med. 2009 Feb-Apr;30(1-2):99-110. doi: 10.1016/j.mam.2008.09.001. Epub 2008 Sep 27
Wouldn't it make more sense to look at the biology of viruses and find common denominators to shut them down? Doesn't it make sense to get to the causes of how these epidemics and pandemics arise?