Atteinte de la borréliose chronique persistante , babesia et bartonella ; le déni est grand , battons nous pour la faire connaitre la borréliose de lyme et ses coinfections ; 8 ans de bi et tri therapies d'antibiotiques auxquels j'ai ajouté une partie du protocole Buhner et autres http://francelyme.fr
collecte section Bourgogne
https://www.helloasso.com/associations/association-france-lyme/collectes/section-bourgogne
Pister la maladie de Lyme Dr Jean-François Lemoine
Pister la maladie de Lyme
Publié le : 25 Mai 2012 par Dr Jean-François Lemoine
Il faut parler de la maladie
de LYME qui s’écrit L Y M E … Il faut vraiment en parler parce que le
corps médical français doit faire son mea culpa. Il a longtemps
enseigné plutôt médiocrement une maladie très fréquente aux Etats-Unis
ou en Autriche, mais qui commence à toucher de plus en plus de nos
compatriotes. Mal connue, elle est donc mal diagnostiquée, alors qu’elle
peut être responsable de complications, en particulier neurologiques.
Le taux d’augmentation semble important : on est passé en France de quelques centaines à plus de 10 000 cas par an. 50 000 en Europe. Le responsable est une tique. Un mot sur cette « bestiole » que tout le monde croit connaitre… Il y en a 869 espèces toutes qui se nourrissent de sang, donc potentiellement vectrices de maladies. Mais quelques unes seulement ont une importance médicale, en raison des maladies humaines ou animales qu’elles occasionnent...
Dans la maladie de Lyme, c’est une tique particulière qui injecte un microbe que l’on appelle Borrelia burgdorferi. Il y a un malaise dans le corps médical parce que la maladie de Lyme est considérée comme une maladie émergente, c’est-à-dire non évoquée par les études médicales autrefois.
Ensuite il y a la flambée ; on estime, selon les situations géographiques, qu'il peut y avoir jusqu'à 30 % des tiques contaminées en France et jusqu'à 60 % en Autriche. Alors qu'aux États-Unis par exemple, on peut voir des panneaux prévenant les promeneurs qu'ils traversent une zone à risque, la maladie a été tardivement reconnue et suivie en France alors qu’en Autriche ou en Allemagne, le problème est depuis plus longtemps considéré comme un problème important de santé publique. Et puis, le diagnostic n’est vraiment pas facile.
On a plein d’explications pour ce développement extrêmement rapide; La multiplication des routes qui favorise une petite souris très infectée. Le changement climatique bien évidemment. Et le drainage des sols. La régression des prédateurs comme les lézards ou les jeunes grenouilles. Se rajoutent en effet au silence du corps médical un dossier écologique très tendance ; avec justesse d’ailleurs…
On doit craindre cette maladie, en France, plutôt au nord de notre pays, car très riche en tiques. La femelle est toujours à la recherche d’un bon repas, en général un animal et plutôt des petits mammifères. Mais ce peut aussi être un homme à qui elle pompera le sang pendant trois à cinq jours. Le festin terminé, elle se détache.
On ne peut pas l’en empêcher car la plupart du temps on ne s’en aperçoit pas.
De plus, pendant qu’elle se nourrit, elle est quasi impossible à éliminer. Ce n’est toutefois pas ce repas qui est responsable de la maladie, mais plutôt un microbe que la tique va inoculer dans notre sang pendant qu’elle se nourrit. Cette bactérie microscopique pénètre par l’intermédiaire de la salive et va s’attaquer à notre corps en l’absence de traitement.
Il y a un temps d’incubation mais qui est malheureusement très variable. Il va de deux jours à un mois. Ce qui ne permet pas toujours de relier les symptômes à une évasion champêtre ! Les symptômes sont eux aussi très variables. Ils vont de simples démangeaisons au point de morsure jusqu’à des poussées sur l’ensemble du corps.
Mais ce que la médecine redoute entre tout, ce sont les problèmes cardiaques, les douleurs des articulations, qui montrent où le microbe a élu son domicile, et enfin, surtout, des problèmes neurologiques qui sont souvent en fait le premier motif de consultation et qui perturbent le diagnostic. Car il n’est pas habituel dans notre pays de penser à une piqûre de tique devant une méningite, des paralysies anormales des membres ou du visage.
D’où de fréquentes erreurs de diagnostic… c’est en effet pourquoi dans la plupart des cas d’atteinte grave de la maladie de Lyme, le diagnostic s’est égaré, d’autant que, contrairement à de nombreuses autres infections, une simple prise de sang ne permet pas de certitude. C’est d’autant plus embêtant qu’au début de la maladie, les antibiotiques marchent plutôt bien. Ce qui est aussi facteur d’égarement…D’ailleurs, il existe des associations d’anciens patients qui sont très actives car ces malades sont très en colère – à juste titre – contre la médecine.
Alors, en cas de piqûre de tique, il faut retirer cette tique le plus vite possible avec des pinces fines en évitant des produits comme l’éther qui vont la faire régurgiter, donc augmenter le risque. Et puis voir très vite son médecin. Il existe un vaccin qui ne protégeait pas contre la tique européenne, qui a été retiré du marché. On attend toujours son successeur… Donc la seule prévention contre les morsures de tiques reste indispensable. Des répulsifs peuvent être appliqués, sur la peau ou sur les vêtements.
Le taux d’augmentation semble important : on est passé en France de quelques centaines à plus de 10 000 cas par an. 50 000 en Europe. Le responsable est une tique. Un mot sur cette « bestiole » que tout le monde croit connaitre… Il y en a 869 espèces toutes qui se nourrissent de sang, donc potentiellement vectrices de maladies. Mais quelques unes seulement ont une importance médicale, en raison des maladies humaines ou animales qu’elles occasionnent...
Dans la maladie de Lyme, c’est une tique particulière qui injecte un microbe que l’on appelle Borrelia burgdorferi. Il y a un malaise dans le corps médical parce que la maladie de Lyme est considérée comme une maladie émergente, c’est-à-dire non évoquée par les études médicales autrefois.
Ensuite il y a la flambée ; on estime, selon les situations géographiques, qu'il peut y avoir jusqu'à 30 % des tiques contaminées en France et jusqu'à 60 % en Autriche. Alors qu'aux États-Unis par exemple, on peut voir des panneaux prévenant les promeneurs qu'ils traversent une zone à risque, la maladie a été tardivement reconnue et suivie en France alors qu’en Autriche ou en Allemagne, le problème est depuis plus longtemps considéré comme un problème important de santé publique. Et puis, le diagnostic n’est vraiment pas facile.
On a plein d’explications pour ce développement extrêmement rapide; La multiplication des routes qui favorise une petite souris très infectée. Le changement climatique bien évidemment. Et le drainage des sols. La régression des prédateurs comme les lézards ou les jeunes grenouilles. Se rajoutent en effet au silence du corps médical un dossier écologique très tendance ; avec justesse d’ailleurs…
On doit craindre cette maladie, en France, plutôt au nord de notre pays, car très riche en tiques. La femelle est toujours à la recherche d’un bon repas, en général un animal et plutôt des petits mammifères. Mais ce peut aussi être un homme à qui elle pompera le sang pendant trois à cinq jours. Le festin terminé, elle se détache.
On ne peut pas l’en empêcher car la plupart du temps on ne s’en aperçoit pas.
De plus, pendant qu’elle se nourrit, elle est quasi impossible à éliminer. Ce n’est toutefois pas ce repas qui est responsable de la maladie, mais plutôt un microbe que la tique va inoculer dans notre sang pendant qu’elle se nourrit. Cette bactérie microscopique pénètre par l’intermédiaire de la salive et va s’attaquer à notre corps en l’absence de traitement.
Il y a un temps d’incubation mais qui est malheureusement très variable. Il va de deux jours à un mois. Ce qui ne permet pas toujours de relier les symptômes à une évasion champêtre ! Les symptômes sont eux aussi très variables. Ils vont de simples démangeaisons au point de morsure jusqu’à des poussées sur l’ensemble du corps.
Mais ce que la médecine redoute entre tout, ce sont les problèmes cardiaques, les douleurs des articulations, qui montrent où le microbe a élu son domicile, et enfin, surtout, des problèmes neurologiques qui sont souvent en fait le premier motif de consultation et qui perturbent le diagnostic. Car il n’est pas habituel dans notre pays de penser à une piqûre de tique devant une méningite, des paralysies anormales des membres ou du visage.
D’où de fréquentes erreurs de diagnostic… c’est en effet pourquoi dans la plupart des cas d’atteinte grave de la maladie de Lyme, le diagnostic s’est égaré, d’autant que, contrairement à de nombreuses autres infections, une simple prise de sang ne permet pas de certitude. C’est d’autant plus embêtant qu’au début de la maladie, les antibiotiques marchent plutôt bien. Ce qui est aussi facteur d’égarement…D’ailleurs, il existe des associations d’anciens patients qui sont très actives car ces malades sont très en colère – à juste titre – contre la médecine.
Alors, en cas de piqûre de tique, il faut retirer cette tique le plus vite possible avec des pinces fines en évitant des produits comme l’éther qui vont la faire régurgiter, donc augmenter le risque. Et puis voir très vite son médecin. Il existe un vaccin qui ne protégeait pas contre la tique européenne, qui a été retiré du marché. On attend toujours son successeur… Donc la seule prévention contre les morsures de tiques reste indispensable. Des répulsifs peuvent être appliqués, sur la peau ou sur les vêtements.
Cependant, leur efficacité
demeure limitée et en plus, ils ne sont pas dénués de effets secondaires
indésirables. Leur emploi ne dispense donc, en aucune manière, de
respecter les précautions d'usage : le port de vêtements adaptés, ne pas
oublier de mettre une grande couverture sur le sol avant de faire sa
sieste sous les bois, là où rôde le plus cet animal peu sympathique et
ne pas hésiter à en parler au médecin en cas de rougeurs et de
démangeaisons bizarres….
selon les tiques , différentes maladies
http://www.lymedisease.org/lyme101/ticks/tick_facts.html
Know Your Tick Facts
American Dog Tick |
Dermacentor
|
Soft Ticks |
Ornithodoros |
The American Dog Tick can transmit Rocky Mountain Spotted fever, Tularemia, Ehrlichia, and Tick Paralysis. | Soft ticks do not have the hard shell and are shaped like a large raisin. Soft ticks carry Tick Relapsing Fever. | ||
Ixodes Pacificus |
Western Black
|
Ixodes Scapularis |
Deer Tick |
The Western Black Legged Tick is prevalent on west coast. It transmits Babesia, Lyme disease, Bartonella and Ehrlichia. | The Deer Tick is prevalent on East Coast and transmits Lyme disease, Ehrlichia, Babesia, and Bartonella | ||
Brown Dog Tick |
Rhipicephalus Sanguineus |
Rocky Mtn
|
Dermacentor Andersoni |
The Brown Dog tick carries Q Fever. | The Rocky Mountain Wood Tick transmits Tularemia, Tick paralysis, Rocky Mountain Spotted Fever, Q Fever,, and Colorado Tick Fever. | ||
Identifying features on Pacific Coast Tick
|
Lone Star Tick |
Amblyomma Americanum |
|
The Lone Star Tick is prevalent in the South West and can transmit Rocky Mountain Spotted Fever, Tularemia, and Ehrlichia, Q Fever and Tick Paralysis as well as Borrelia lonestari, which causes a Lyme disease like illness | |||
The Pacific Coast Tick is prevalent in the West and South West. It can transmit Colorado Tick Fever virus, the Rickettsia of Q Fever and Spotted fever as well as the bacterium that causes Tularemia. Known to cause tick paralysis in cattle, horses and deer. Bite wounds are commonly mistaken for wounds caused by biting | The species of bacteria among the tick-borne pathogens are diverse. This complicates diagnosis because current antibody tests are species-specific.15 tick-borne bacterial pathogens have been identified worldwide, including 3 species of Ehrlichia, and 4 or 5 of B. burgdorferi. Scientists have not identified all of the pathogens that ticks may carry. |
Dr Rueff: les associations concernant lyme
Du nouveau sur la maladie de Lyme (actualisation 28 mai 2012)
Le 29 mai 2012 | Commentaires fermés
Lundi 16 avril le journal du soir de FR3 a consacré un sujet sur la maladie de LYME: il est très bien fait.Cette « borreliose » fait partie des maladies dites « froides » sur lesquelles le groupe CHRONIMED et le Professeur MONTAGNIER font des recherches tant aux fins diagnostiques que thérapeutiques. Beaucoup d’entre nous peuvent être porteurs de ces bactéries qui peuvent occasionner des symptômes très divers comme toutes douleurs musculaires et/ou articulaires, fatigue chronique, états quasi dépressifs et interférer avec beaucoup d’autres pathologies.
N’oubliez pas de commander, sur ce sujet, le livre de Judith ALBERTAT, « MALADIE DE LYME » aux éditions Thierry Souccar.
Judith ALBERTAT est co- fondatrice de l’association LYME SANS FRONTIERE.
N’oubliez pas, si vous désirez en savoir plus sur la maladie de Lyme et les co-infections de consulter également le site de l’Association FRANCE LYME , celui de l’association Lyme-Infections-Autisme.com, celui du réseau borreliose et bien entendu celui de CHRONIMED.
Consultez cet excellent document qui nous vient du médecin allemand, le Dr. Petra Hopf-Seidel (spécialisée en neurologie et psychiatrie, Spécialisée en médecine générale qui fait un point très précis sur la clinique et la thérapie de la maladie de Lyme . En Allemagne on dénombre 50.000 cas par an, mais ce confrère pense qu’il y en a beaucoup plus!
A ce propos une question écrite a été déposée à l’Assemblée Nationale le 14 avril 2012 par Monsieur le député Jean-Philippe Maurer. Elle reste, à ce jour sans réponse.
New World Electro Symphony
New World Electro Symphony - Jerome Okresik (Official) - YouTube | |
www.youtube.com/watch?v=awmmltGCmgsNouveautéil y a 1 jour - 3 min - Ajouté par producerjerome
"New World Electro Symphony" produced and mixed by Jérôme Okresik Composed by Jerome Okresik on Dvořák's famous theme (Symphony No. 9 in E Minor "From the New World")
Publiée le 27 mai 2012 par producerjerome
"New World Electro Symphony" produced and mixed by Jérôme Okresik
Composed by Jerome Okresik on Dvořák's famous theme (Symphony No. 9 in E Minor "From the New World") http://www.jeromeokresik.com/ Orchestral performance, sound design, and MIDI editing directed by Nicolas Techer http://www.nicolastecher.com/ Music protected by SACEM (Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de Musique) Text and Video Clip by Jerome Okresik For those who want to continue the adventure, you can discover the wonderful film that gives a glimpse at this new world : « The Celestine Prophecy " (2006 American film directed by Armand Mastroianni based on James Redfield's novel from the same name) |
bravo jerome ! nouvel EP « Si mes larmes tombent – Single »
C'est officiel ! Premier titre sur le single de l'artiste français !
Aujourd’hui sort un nouvel EP « Si mes larmes tombent – Single » sur lequel figurent 3 nouveaux remixes, sélectionnés à l’issue du concours organisé le mois dernier !
L’EP est disponible en téléchargement sur iTunes Store.
1- Si mes larmes tombent (Jerome Okresik Remix)
2- Si mes larmes tombent (Quentin Mosimann Remix)
3- Si mes larmes tombent (Yorgo Land Remix)
http://itunes.apple.com/fr/album/si-mes-larmes-tombent-single/id529053776?affId=1596867
Aujourd’hui sort un nouvel EP « Si mes larmes tombent – Single » sur lequel figurent 3 nouveaux remixes, sélectionnés à l’issue du concours organisé le mois dernier !
L’EP est disponible en téléchargement sur iTunes Store.
1- Si mes larmes tombent (Jerome Okresik Remix)
2- Si mes larmes tombent (Quentin Mosimann Remix)
3- Si mes larmes tombent (Yorgo Land Remix)
http://itunes.apple.com/fr/album/si-mes-larmes-tombent-single/id529053776?affId=1596867
iTunes - Musique - Si mes larmes tombent - Single par Christophe Willem
itunes.apple.com
morsures de chat ! attention....aux infections
Flesh eating disease from a cat bite
Posted on May 14, 2012 by Scott Weese
An Albany, Georgia woman is fortunately recovering from necrotizing fasciitis (flesh eating disease) that developed after a cat bite.
The cat presumably wasn't the source of the bacterium that caused the
disease, but it was the source of the wound that let the bacterium
(usually Group A Streptococcus sp) get into her body in the first place, and from there the infection spread rapidly.In this case, the woman was bitten on the hand by her cat. There's no mention of what she did after the bite, but often people don't take adequate precautions after cat bites because they can appear minor. While the trauma can be minor, cat bites are notorious for causing infections because they can drive bacteria deep into tissues, making it easy for infections to develop.
Four days after the cat bite, the woman's hand "blew up" and she was rushed into surgery. It's an emergency situation because death rates can be high, and those people lucky enough to survive can still have serious complications sometimes requiring measures as drastic as limb amputation, and the extensive tissue damage can lead to chronic problems for the rest of their lives.
People shouldn't worry about getting flesh eating disease from their cat (in part because people don't actually get this kind of infection from cats, it's just that bites can predisposed them to this (and other) kind of infection). However, people should be aware of potential issues associated with bites (from cats in particular, but also from any kind of animal). This case is just one more warning about a range of potential problems that can develop following a cat bite. Any cat bite should be taken seriously and at a minimum promptly and thoroughly cleaned. Bites that occur over the hands, feet, face, joints and similar high risk sites or that occur in people with compromised immune systems should be evaluated by a physician - and sooner rather than later. It's much easier and better to prevent an infection from developing than to try to control an established infection, and while most cat bite infections are mild, serious problems are far from rare.
More information about cat bites can be found on the Worms & Germs Resources - Pets page.
maladie de la griffe du chat , la bartonellose
Bartonella testing in cats: Marketing or science?
Posted on May 20, 2012 by Scott Weese
People
might assume that diagnostic tests are created when researchers
identify a condition that needs a new or better test, then develop the
test and prove that it works (and helps with patient). However,
sometimes it's more a matter of a new test looking for a market rather
than a disease looking for a test. Sometimes, it's a matter of an old
test trying to maintain a market in the face of new information or
better testing. Whatever the situation, the bottom line is that not all
available diagnostic tests are useful in all situations.Bartonella testing is a good example. Bartonella is a strange Genus of bacteria that can cause various diseases in people. Of these diseases, the one most commonly associated with pets is cat scratch disease caused by Bartonella henselae. It usually causes only mild illness, but serious complications can occur, so it's something to which we need to pay attention.
National Veterinary Laboratory, a private diagnostic testing company in the US, is currently promoting their Bartonella test, an old test that only indicates previous exposure to the bacterium, as a way to keep yourself and your family safe. In their promotional materials, they state "We recommend that all healthy pet cats, especially those obtained as strays, from shelters or animal rescue organizations, and those that have had flea infestations, be tested for Bartonella infection."
It's not surprising that they recommend testing, since they make money off the testing. But what does the evidence say, and what do experts recommend?
They certainly don't say the same thing as the diagnostic lab. In fact, Guidelines for the prevention and treatment of opportunistic infections among HIV-exposed and HIV-infected children: recommendations from CDC, the National Institutes of Health, the HIV Medicine Association of the Infectious Diseases Society of America, the Pediatric Infectious Diseases Society, and the American Academy of Pediatrics states:
"No evidence indicates any benefit from routine culturing or serologic testing of cats for Bartonella infection or from antibiotic treatment of healthy, serologically positive cats."
So, if an independent group of experts doesn't think that testing of cats owned by this high risk population is necessary, why would we test every cat?
Why not test all cats? For me, it comes down to what the results tell me, and what I'd do with them. For this type of testing:
- A positive result means the cat has been exposed to Bartonella at some point, and may or may not be shedding the bacterium. There are no guidelines that recommend treating healthy cats, so I'd focus on flea control along with bite and scratch avoidance.
- A negative result means that the cat has probably not been exposed to Bartonella, but the test isn't 100% sensitive. It also only tells me the status of the cat up to the point that the test was performed, not it's future status. So, the cat could theoretically pick up Bartonella at any point. As a result, I'd 'd focus on flea control along with bite and scratch avoidance.
Bartonella henselae (along with some other Bartonella species) is an important zoonotic pathogen which warrants our attention. However, what we need is greater awareness amongst physicians of Bartonella, better cat bite and scratch avoidance and better flea control practices for pets, not unnecessary testing of healthy cats.
Good diagnostic testing is critical for people and pets that might have disease from Bartonella, but not for healthy individuals.
Do nonspiral spirochetes help clean our environment?
http://spirochetesunwound.blogspot.fr/2012/05/do-nonspiral-spirochetes-help-clean-our.html
Members of the spirochete phylum Spirochaetes are recognized
easily by their long spiral shape, which allows their periplasmic
flagella to power them through viscous environments. But scientists are
discovering that not all spirochetes share this peculiar shape. Two bacterial isolates recovered from freshwater sediments in Michigan were spherical and lacked flagella, yet phylogenetic analysis of their 16S rRNA and other genes placed them firmly within the Spirochaetes. The genus Sphaerochaeta was created to accommodate the new isolates, which were designated Sphaerochaeta globosa and Sphaerochaeta pleomorpha.
The disease-causing spirochetes such as Borrelia burgdorferi and Leptospira species are shape changers. Although they are often observed with the familiar spiral morphology, they sometimes morph into nonmotile round bodies when stressed, only to revert to the spiral form when conditions improve (see images below). Could the Sphaerochaeta strains sprout flagella and morph into the spiral form under the right conditions? It doesn't appear likely. Sphaerochaeta retain their round shape under a variety of growth conditions, and their genomes lack motility and chemotaxis genes, including those encoding the components of the flagellum.
Sphaerochaeta spirochetes have another unusual property.
Electron microscopy revealed what could be a peptidoglycan-layered cell
wall (see image below), yet they grow fine even when high concentrations
of ampicillin are dumped into the growth meduim. The genome sequence
revealed the reason for their resistance to the antibiotic. Although
the two Sphaerochaeta strains had the genes necessary to make
peptidoglycan, they were missing the genes encoding the enzymes that
strengthen the cell wall by cross-linking the peptidoglycan. These
missing enzymes are the targets of β-lactams, the penicillin class of
antibiotics that includes ampicillin. Without the cross-linking
enzymes, one may expect the cell wall to be fragile, but it isn't. The
strains grow fine in hypotonic medium, which would have caused the
bacteria to burst if they had a weak cell wall. What strengthens the Sphaerochaeta cell wall to keep it intact under physical strain remains a mystery.
Even though Sphaerochaeta reside in oxygen-poor environments, they don't live alone. They are members of a close-knit microbial community that includes bacteria of the genus Dehalococcoides, which respire by reducing organic chlorides instead of oxygen. Dehalococcoides have attracted attention because of their potential for cleaning up groundwater and other sensitive environments contaminated with chlorinated organic compounds, pollutants that originated mainly from past industrial and agricultural activities. Although the production of these toxic compounds has ceased in many countries, the pollutants persist in the environment and must be detoxified. This is where Dehalococcoides bacteria may be beneficial. They obtain energy by anaerobic respiration of chlorinated organic molecules, which strips off the chloride atoms, rendering the compounds nontoxic.
Dehaloccoides bacteria do not grow well on their own unless other members of the microbial community are also present. This indicates that the other microbes provide something that the Dehalococcoides need for optimal growth. Sphaerochaeta bacteria extract energy from sugars by fermentation, generating a mixture of waste products that include acetate and H2. Dehalococcoides have a strict requirement for acetate as a carbon source, and they must use hydrogen as the electron donor for anaerobic respiration of organic chlorides. Members of Sphaerochaeta may provide these critical substrates to Dehalococcoides.
S. globosa and S. pleomorpha are the best-characterized nonspiral spirochetes, but they were not the first round spirochetes to be found. A report from 1992 described a round, cold-loving spirochete recovered from Ace Lake in Antarctica. This spirochete is a member of the genus Spirochaeta, the closest relative of Sphaerochaeta. More recently, another round nonmotile spirochete, Spirochaeta coccoides, was isolated from the hindgut of a termite. Based on its genome sequence, reclassification of Spirochaeta coccoides into the genus Sphaerochaeta was proposed recently. The residence of nonspiral spirochetes in such diverse environments could mean that they are more widespread than we think.
References
Caro-Quintero, A., Ritalahti, K.M., Cusick, K.D., Loffler, F.E., & Konstantinidis, K.T. (2012). The chimeric genome of Sphaerochaeta: Nonspiral spirochetes that break with the prevalent dogma in spirochete biology mBio, 3 (3) DOI: 10.1128/mBio.00025-12
Ritalahti, K.M., Justicia-Leon, S.D., Cusick, K.D., Ramos-Hernandez, N., Rubin, M., Dornbush, J., & Loffler, F.E. (2011). Sphaerochaeta globosa gen. nov., sp. nov. and Sphaerochaeta pleomorpha sp. nov., free-living, spherical spirochaetes INTERNATIONAL JOURNAL OF SYSTEMATIC AND EVOLUTIONARY MICROBIOLOGY, 62 (1), 210-216 DOI: 10.1099/ijs.0.023986-0
Alban P.S., Johnson P.W., & Nelson D.R. (2000). Serum-starvation-induced changes in protein synthesis and morphology of Borrelia burgdorferi. Microbiology (Reading, England), 146 ( Pt 1), 119-127 PMID: 10658658
Franzmann P.D., & Dobson S.J. (1992). Cell wall-less, free-living spirochetes in Antarctica. FEMS microbiology letters, 76 (3), 289-292 PMID: 1385265
Dröge S., Fröhlich J., Radek R., & König H. (2006). Spirochaeta coccoides sp. nov., a novel coccoid spirochete from the hindgut of the termite Neotermes castaneus. Applied and environmental microbiology, 72 (1), 392-397 PMID: 16391069
Abt, B., Han, C., Scheuner, C., Lu, M., Lapidus, A., Nolan, M., Lucas, S., Hammon, N., Deshpande, S., Cheng, J., Tapia, R., Goodwin, L., Pitluck, S., Liolios, K., Pagani, I., Ivanova, N., Mavromatis, K., Mikhailova, N., Huntemann, M., Pati, A., Chen, A., Palaniappan, K., Land, M., Hauser, L., Brambilla, E., Rohde, M., Spring, S., Gronow, S., Göker, M., Woyke, T., Bristow, J., Eisen, J.A., Markowitz, V., Hugenholtz, P., Kyrpides, N.C., Klenk, H.-P., & Detter, J.C. (2012). Complete genome sequence of the termite hindgut bacterium Spirochaeta coccoides type strain (SPN1T), reclassification in the genus Sphaerochaeta as Sphaerochaeta coccoides comb. nov. and emendations of the family Spirochaetaceae and the genus Sphaerochaet Standards in Genomic Sciences, 6 (2), 194-209 DOI: 10.4056/sigs.2796069
Taş, N., van Eekert, M.H.A., de Vos, W.M., & Smidt, H. (2009). The little bacteria that can - diversity, genomics and ecophysiology of ‘Dehalococcoides’ spp. in contaminated environments Microbial Biotechnology, 3 (4), 389-402 DOI: 10.1111/j.1751-7915.2009.00147.x
Monday, May 28, 2012
Do nonspiral spirochetes help clean our environment?
Sphaerochaeta pleomorpha viewed by phase contrast microscopy. Arrowheads point to protrusions. Panel B shows the round spirochetes organized as "strings of pearls." Figure 1a and 1b from Ritalahti et al., 2012. |
Sphaerochaeta globosa viewed by phase contrast microscopy. Figure 2a from Ritalahti et al., 2012. |
The disease-causing spirochetes such as Borrelia burgdorferi and Leptospira species are shape changers. Although they are often observed with the familiar spiral morphology, they sometimes morph into nonmotile round bodies when stressed, only to revert to the spiral form when conditions improve (see images below). Could the Sphaerochaeta strains sprout flagella and morph into the spiral form under the right conditions? It doesn't appear likely. Sphaerochaeta retain their round shape under a variety of growth conditions, and their genomes lack motility and chemotaxis genes, including those encoding the components of the flagellum.
The Lyme disease spirochete B. burgdorferi viewed by electron microscopy. Panel A: B. burgdorferi in its standard growth medium BSKII, which contains serum. Panel B: Most of the spirochetes appear as round bodies after being starved for serum for 48 hours. Bar, 2 µm. Figure 1A and 1B from Alban et al., 2000. |
Views of B. burgdorferi by phase contrast microscopy. Panel A: B. burgdorferi starved for serum for 48 hours. Panel B: Less than one minute after the culture is replenished with serum, the round bodies convert back to the spiral form. Bar, 5 µm. Figure 2A and 2B from Alban et al., 2000. |
Cell wall architecture of Sphaerochaeta pleomorpha viewed by electron microscopy. OM, outer membrane; PS, periplasmic space; CW, cell wall. Figure 1d from Ritalahti et al., 2012. |
Even though Sphaerochaeta reside in oxygen-poor environments, they don't live alone. They are members of a close-knit microbial community that includes bacteria of the genus Dehalococcoides, which respire by reducing organic chlorides instead of oxygen. Dehalococcoides have attracted attention because of their potential for cleaning up groundwater and other sensitive environments contaminated with chlorinated organic compounds, pollutants that originated mainly from past industrial and agricultural activities. Although the production of these toxic compounds has ceased in many countries, the pollutants persist in the environment and must be detoxified. This is where Dehalococcoides bacteria may be beneficial. They obtain energy by anaerobic respiration of chlorinated organic molecules, which strips off the chloride atoms, rendering the compounds nontoxic.
Dehaloccoides bacteria do not grow well on their own unless other members of the microbial community are also present. This indicates that the other microbes provide something that the Dehalococcoides need for optimal growth. Sphaerochaeta bacteria extract energy from sugars by fermentation, generating a mixture of waste products that include acetate and H2. Dehalococcoides have a strict requirement for acetate as a carbon source, and they must use hydrogen as the electron donor for anaerobic respiration of organic chlorides. Members of Sphaerochaeta may provide these critical substrates to Dehalococcoides.
S. globosa and S. pleomorpha are the best-characterized nonspiral spirochetes, but they were not the first round spirochetes to be found. A report from 1992 described a round, cold-loving spirochete recovered from Ace Lake in Antarctica. This spirochete is a member of the genus Spirochaeta, the closest relative of Sphaerochaeta. More recently, another round nonmotile spirochete, Spirochaeta coccoides, was isolated from the hindgut of a termite. Based on its genome sequence, reclassification of Spirochaeta coccoides into the genus Sphaerochaeta was proposed recently. The residence of nonspiral spirochetes in such diverse environments could mean that they are more widespread than we think.
References
Caro-Quintero, A., Ritalahti, K.M., Cusick, K.D., Loffler, F.E., & Konstantinidis, K.T. (2012). The chimeric genome of Sphaerochaeta: Nonspiral spirochetes that break with the prevalent dogma in spirochete biology mBio, 3 (3) DOI: 10.1128/mBio.00025-12
Ritalahti, K.M., Justicia-Leon, S.D., Cusick, K.D., Ramos-Hernandez, N., Rubin, M., Dornbush, J., & Loffler, F.E. (2011). Sphaerochaeta globosa gen. nov., sp. nov. and Sphaerochaeta pleomorpha sp. nov., free-living, spherical spirochaetes INTERNATIONAL JOURNAL OF SYSTEMATIC AND EVOLUTIONARY MICROBIOLOGY, 62 (1), 210-216 DOI: 10.1099/ijs.0.023986-0
Alban P.S., Johnson P.W., & Nelson D.R. (2000). Serum-starvation-induced changes in protein synthesis and morphology of Borrelia burgdorferi. Microbiology (Reading, England), 146 ( Pt 1), 119-127 PMID: 10658658
Franzmann P.D., & Dobson S.J. (1992). Cell wall-less, free-living spirochetes in Antarctica. FEMS microbiology letters, 76 (3), 289-292 PMID: 1385265
Dröge S., Fröhlich J., Radek R., & König H. (2006). Spirochaeta coccoides sp. nov., a novel coccoid spirochete from the hindgut of the termite Neotermes castaneus. Applied and environmental microbiology, 72 (1), 392-397 PMID: 16391069
Abt, B., Han, C., Scheuner, C., Lu, M., Lapidus, A., Nolan, M., Lucas, S., Hammon, N., Deshpande, S., Cheng, J., Tapia, R., Goodwin, L., Pitluck, S., Liolios, K., Pagani, I., Ivanova, N., Mavromatis, K., Mikhailova, N., Huntemann, M., Pati, A., Chen, A., Palaniappan, K., Land, M., Hauser, L., Brambilla, E., Rohde, M., Spring, S., Gronow, S., Göker, M., Woyke, T., Bristow, J., Eisen, J.A., Markowitz, V., Hugenholtz, P., Kyrpides, N.C., Klenk, H.-P., & Detter, J.C. (2012). Complete genome sequence of the termite hindgut bacterium Spirochaeta coccoides type strain (SPN1T), reclassification in the genus Sphaerochaeta as Sphaerochaeta coccoides comb. nov. and emendations of the family Spirochaetaceae and the genus Sphaerochaet Standards in Genomic Sciences, 6 (2), 194-209 DOI: 10.4056/sigs.2796069
Taş, N., van Eekert, M.H.A., de Vos, W.M., & Smidt, H. (2009). The little bacteria that can - diversity, genomics and ecophysiology of ‘Dehalococcoides’ spp. in contaminated environments Microbial Biotechnology, 3 (4), 389-402 DOI: 10.1111/j.1751-7915.2009.00147.x
3ème symposium nutrition environnement santé.
LaNutrition.fr organise avec l'association BMPS le 16 juin à Marseille son 3ème symposium nutrition environnement santé.
Thème cette année : Infections, polluants, radicaux libres, stress : comment se protéger contre les agresseurs biologiques
Comment traiter les infections chroniques. Deux communications portent sur les infections dites "froides", mal diagnostiquées et souvent mal traitées par les médecins. Le Dr Dominique Rueff, président de l'ADNO, membre de Chronimed apportera son expérience de praticien. Judith Albertat qui acontracté la maladie de Lyme, une maladie en pleine augmentation transmise par les tiques, donnera son témoignage de patiente et son expérience avec les thérapies complémentaires.
Comment contrôler le stress oxydant par les compléments antioxydants. Les Dr Anne Galinier et Christel Cinq-Frais du Laboratoire de biochimie du CHU de Toulouse diront comment utiliser des antioxydants pour diminuer le stress oxydant s'il est trop élevé.
Prévenir les maladies liées à la pollution. Le Pr Pierre-Marie Martin, du Laboratoire de cancérologie expérimentale de la faculté de médecine de Marseille présentera le rôle des imposteurs endocriniens (substances de l'environnement qui se comportent comme des hormones) sur le risque de cancer. Le Pr Jean-François Narbonne de l'université de Bordeaux, toxicologue expert à l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail, exposera l'état des lieux de la pollution de l'eau en France et de ses conséquences sur la santé.
Stratégies pratiques anti-stress. Le Dr Martine Cotinat, gastro-entérologue spécialiste de nutrition et Jean-Michel Gurret, spécialiste de l'EFT donneront plusieurs outils pour lutter activement contre le stress.
La détox hépatique. Le Dr Patrick Chavaux expliquera comment détoxifier le foie, l'organe en première ligne dans les pollutions et les erreurs alimentaires.
Thème cette année : Infections, polluants, radicaux libres, stress : comment se protéger contre les agresseurs biologiques
Comment traiter les infections chroniques. Deux communications portent sur les infections dites "froides", mal diagnostiquées et souvent mal traitées par les médecins. Le Dr Dominique Rueff, président de l'ADNO, membre de Chronimed apportera son expérience de praticien. Judith Albertat qui acontracté la maladie de Lyme, une maladie en pleine augmentation transmise par les tiques, donnera son témoignage de patiente et son expérience avec les thérapies complémentaires.
Comment contrôler le stress oxydant par les compléments antioxydants. Les Dr Anne Galinier et Christel Cinq-Frais du Laboratoire de biochimie du CHU de Toulouse diront comment utiliser des antioxydants pour diminuer le stress oxydant s'il est trop élevé.
Prévenir les maladies liées à la pollution. Le Pr Pierre-Marie Martin, du Laboratoire de cancérologie expérimentale de la faculté de médecine de Marseille présentera le rôle des imposteurs endocriniens (substances de l'environnement qui se comportent comme des hormones) sur le risque de cancer. Le Pr Jean-François Narbonne de l'université de Bordeaux, toxicologue expert à l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail, exposera l'état des lieux de la pollution de l'eau en France et de ses conséquences sur la santé.
Stratégies pratiques anti-stress. Le Dr Martine Cotinat, gastro-entérologue spécialiste de nutrition et Jean-Michel Gurret, spécialiste de l'EFT donneront plusieurs outils pour lutter activement contre le stress.
La détox hépatique. Le Dr Patrick Chavaux expliquera comment détoxifier le foie, l'organe en première ligne dans les pollutions et les erreurs alimentaires.
PROGRAMME
8h00 – 8h45
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Accueil des participants et ouverture du symposium
Thierry Souccar (LaNutrition.fr) et Dr Martine Cotinat (BMPS)
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8h45 – 9h30
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Dr Dominique Rueff
Les infections froides : conduite à tenir, dosages biologiques, traitements
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9h30 - 10h15
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Judith Albertat
Maladie de Lyme : le parcours d'une patiente
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10h15 – 10h45
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Pause
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10h45 - 11h30
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Dr Pierre-Marie Martin
Les perturbateurs endocriniens et le risque de cancer
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11h30 - 12h00
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Questions-réponses aux conférenciers
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12h00 - 13h15
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Déjeuner bio et naturel pris tous ensemble sur place composé par Le Mille Fleurs
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13h15 - 13h45
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Visite des exposants et dédicace des livres par les auteurs présents
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13h45 – 14h45
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Dr Sylvie Caspar-Bauguil et Dr Christel Cinq-Frais
Comment utiliser les antioxydants en cas de stress oxydant
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14h45 - 15h30
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Dr Martine Cotinat et Jean-Michel Gurret
Les outils efficaces contre le stress
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15h30 - 16h00
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Pause
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16h00 – 16h45
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Dr Patrick Chavaux
La détoxification hépatique
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16h45-17h30
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Pr Jean-François Narbonne
La pollution de l’eau et ses conséquences
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17h30 – 18h00
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Questions réponses et clôture du symposium
par Thierry Souccar et le Dr Martine Cotinat
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Dépression, Psychose et Infection par les Rickettsies. Cécile Jadin, étude sur 300 cas
Summary:
The possibility of a Rickettsial origin for
symptoms of depression and psychotic disfunction has been suggested
by French scientists (Ch. Nicolle, Giroud, Legag, Jadin, Bottero) in
their published works. Hence 300 patients, diagnosed as
suffering from depression, or other neuropsychiatric dysfunction
have been treated with antibiotic where a positive indicaton of
Rickettsial infection was revealed as follows:
1.Many symptoms of these patients were similar to those exhibited in chronic Rickettsial diseases.
2.The treatment followed the finding that their serum reacted positively to the Giroud
micro-agglutination test.
Giroud Test - specific for testing antibodies to these 5 antigens (R36):
ß Rickettsia Prowazeki ß R. Mooseri ß R. Conori ß Coxiella Burnetti
ß Neo-R. Q18
Done by micro agglutination Depends on the quality of antigens Comparative studies with IFA test gave very similar result
ß Positive reaction = presence of antibodies; (does not necessarily mean
illness)
ß Negative reaction does not suppress Rickettsial etiology (R1,25)
Done by micro agglutination Patients and Methods: Statistics of 300 patients (100% Caucasian)
http://www.lassesen.com/cfids/documents/Jadin_paper2.pdf
Many Psychiatric Symptoms May Result From Lyme Disease
Mercredi 23 mai 2012
Undetected, Lyme disease takes hold and hides in the nervous system, especially in the brain, causing havoc to cognitive functions, often going diagnosed and treated incorrectly.
Lyme disease is also one of the fastest growing infectious diseases in the nation, according to the Centers for Disease Control and Prevention.
Caused by the bite of a deer tick that is infected with the Borrelia burgdorferi (Bb) spirochete, Spring is the ideal time to catch Lyme disease. Ticks often survive the winter season and are lying in wait for us when we resume our outdoor activities.
Lyme is difficult to diagnose because less than half of all Lyme patients ever notice a tick bite or develop the signature bulls-eye rash. As a result, many patients go untreated and develop psychiatric and/or neurological symptoms that are misdiagnosed and mistreated. In fact, untreated Lyme disease can mimic or cause virtually any kind of psychiatric, neurological, or medical symptoms.
Cognitive symptoms from Lyme disease may include memory and concentration impairments, ADHD-like symptoms, learning disabilities, language and speech abnormalities, OCD, crying spells, rages, depression/bipolar disorder, panic/anxiety disorders and other psychoses.
With the brain SPECT (single photon emission computed tomography) imaging we do here at Amen Clinics we are more easily able to identify and diagnose Lyme disease, and the sooner Lyme is detected and diagnosed, the better.
The biggest challenge, if Lyme goes undetected, is that the infection remains with you essentially forever. However, with proper diagnoses and treatment, Lyme disease can typically be treated quite effectively.
If you or a loved one would like to book and appointment at one of our Amen Clinics locations please call 1-888-564-2700
http://70.32.73.82/blog/5780/many-psychiatric-symptoms-may-result-from-lyme-disease/
vos sorties : attention aux tiques
CDC reporting tick-borne relapsing fever in a Colorado mother and newborn child. It appears the mother contracted illness a few weeks before giving birth. Though different from Lyme, TBRF is also a spirochete. http://www.cdc.gov/mmwr/
suivre les flèches : spirochètes
aidez france lyme !
APPEL AUX DONS:
L'association France Lyme se démène afin de faire connaître la maladie, de faire évoluer les prises en charge... Nous ne sommes pas une association riche. Or, avec le début de la saison des tiques et des activités de plein-air, nous avons besoin de faire réimprimer des plaquettes de prévention et d'information (qui sont à disposition de tout adhérent en faisant la demande). De nouveaux adhérents très impliqués et dynamiques - merci et bravo à eux - ont commencé la prévention dans les écoles, sur des manifestations nature... et le besoin de réimpression est urgent pour soutenir cet élan !
L'association imprime des plaquettes, des affiches, des supports pour la prévention dans les écoles. Elle finance l'hébergement du site internet (récemment mis à jour), de ce forum, du forum privé des adhérents...
La volonté et le dévouement de certaines personnes au sein de l'association, malades comme vous tous, nous permettent de faire changer petit à petit les mentalités auprès des médecins (à ce sujet une journée d'étude destinée aux médecins aura prochainement lieu, plus d'infos en privé sur contact@francelyme.fr); elles permettent également de répondre efficacement face à certains coups durs médiatiques (Arte, etc...).
Mais la volonté et le dévouement ne remplaceront jamais l'argent ! ne dit-on pas que c'est le nerf de la guerre ?
Alors, à vous d'aider France Lyme du mieux que vous pouvez !
Un don de 20€ nous permet d'imprimer 333 plaquettes !! et ne vous coute que 7 euros avec la déduction fiscale de 66%
AIDEZ NOUS= AIDEZ VOUS!!!!
Merci à tous!
http://www.francelyme.fr/adhesion.html
L'association France Lyme se démène afin de faire connaître la maladie, de faire évoluer les prises en charge... Nous ne sommes pas une association riche. Or, avec le début de la saison des tiques et des activités de plein-air, nous avons besoin de faire réimprimer des plaquettes de prévention et d'information (qui sont à disposition de tout adhérent en faisant la demande). De nouveaux adhérents très impliqués et dynamiques - merci et bravo à eux - ont commencé la prévention dans les écoles, sur des manifestations nature... et le besoin de réimpression est urgent pour soutenir cet élan !
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Mais la volonté et le dévouement ne remplaceront jamais l'argent ! ne dit-on pas que c'est le nerf de la guerre ?
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Pièces jointes: |
Formulairedon2012.pdf [581.16 Kio] |
une enfant de 2 ans paralysée par une tique
'Tick paralysis' strikes girl, 2
Doctors initially stumped; her recovery is fast
The tick found on Jenna Tomlins. / Courtesy photo
Written by Shantal Parris Riley
What to do if you find a tick attached to you or your child
Don’t panic. Not all ticks are infected, and your risk of acquiring Lyme disease is greatly reduced if the tick is removed within the first 36 hours after attachment.Remove the tick promptly and properly:
» Using tweezers, grasp the tick as close to the skin as possible.
» Gently pull the tick in a steady, upward motion.
» Wash the area with a disinfectant.
When trying to remove the tick:
» DO NOT touch the tick with your bare hands.
» DO NOT squeeze the body of the tick as this may increase your risk of infection.
» DO NOT put alcohol, nail polish remover or Vaseline on the tick.
» DO NOT put a hot match or cigarette on the tick to try to make it “back out.”
» DO NOT use your fingers to remove the tick. These methods do not work and only increase the likelihood the tick will transmit Lyme disease to you. Applying alcohol, nail polish remover or a hot match can irritate a tick and cause it to regurgitate its gut contents into your skin. The gut contents of a tick can contain the Lyme disease-causing bacterium.
» While removing a tick, if the tick’s mouthparts break off and remain in your skin, don’t worry. The mouthparts alone cannot transmit Lyme disease, because the infective body of the tick is no longer attached. The mouthparts can be left alone. They will dry up and fall out by themselves in a few days, or you can remove them as you would a splinter.
After cleaning the area, watch the site of the bite for the appearance of a rash three to 30 days after the bite. The rash usually will be at least 2 inches in diameter initially and gradually will expand to several inches in size. Rashes smaller than the size of a quarter are usually a reaction to the bite itself and do not mean you have Lyme disease.
If rash or flu-like symptoms develop, contact your health-care provider immediately.
Source: state Department of Health
Poughkeepsie Journal
Jenna Tomlins, 2, of Hopewell Junction was paralyzed when she was bitten by an American dog tick this month. She has made a full recovery. / Courtesy photo
What to do if you find a tick attached to you or your child
Health professionals are
looking into a rare case of a little girl who was paralyzed after being bitten
by an American dog tick.
The 2-year-old was unable to eat or drink — immobilized by a potentially fatal illness — when she was brought to Albany Medical Center this month. Jenna Tomlins woke up May 4 feeling tired and lethargic.
“She couldn’t stand up, she couldn’t really move,” said her mother, Rachel Tomlins, 25, of Hopewell Junction. “I just thought maybe she was tired. She was up late the night before.”
Her mother recalled the girl having trouble drinking.
“That’s when I called the pediatrician,” she said.
The doctor suggested the girl, who had no rash or fever, get some fresh air. When she appeared weaker, she was brought to a local emergency care center.
“The doctor was completely baffled, so we took her to Vassar,” Tomlins said. “She had X-rays, CAT scans, urine analysis, blood tests and a spinal tap. They thought maybe she had botulism.”
But the tests came back negative. By then, the child’s tongue had swelled.
“She couldn’t even cry,” Tomlins said.
The girl was rushed to the Children’s Hospital at Albany Medical Center, where she underwent further testing and was given an intravenous therapy.
“She was very lethargic. She had difficulty opening her eyes,” said Dr. Karen Powers, assistant professor of pediatric neurology at Albany Medical Center. “She couldn’t speak. She had difficulty swallowing. She was profoundly weak. She couldn’t move her arms or legs.”
Powers recognized her symptoms as nearly identical to a case she had seen a few years ago while on a fellowship in Richmond, Va., in which a young child suffered from “tick paralysis.”
“It’s a disorder caused by a neurotoxin secreted most commonly by the American dog tick,” Powers said. “It causes an ascending paralysis. Children will present first with difficulty walking or standing as paralysis ascends. The trunk muscles become involved, and there’s difficulty sitting. Then the face muscles are affected, and they have difficulty speaking and swallowing. Eventually, the respiratory muscles become involved, and that can lead to an inability to breathe. Cases can be fatal.”
The doctor looked through the toddler’s hair and scalp, where she found an attached dog tick.The 2-year-old was unable to eat or drink — immobilized by a potentially fatal illness — when she was brought to Albany Medical Center this month. Jenna Tomlins woke up May 4 feeling tired and lethargic.
“She couldn’t stand up, she couldn’t really move,” said her mother, Rachel Tomlins, 25, of Hopewell Junction. “I just thought maybe she was tired. She was up late the night before.”
Her mother recalled the girl having trouble drinking.
“That’s when I called the pediatrician,” she said.
The doctor suggested the girl, who had no rash or fever, get some fresh air. When she appeared weaker, she was brought to a local emergency care center.
“The doctor was completely baffled, so we took her to Vassar,” Tomlins said. “She had X-rays, CAT scans, urine analysis, blood tests and a spinal tap. They thought maybe she had botulism.”
But the tests came back negative. By then, the child’s tongue had swelled.
“She couldn’t even cry,” Tomlins said.
The girl was rushed to the Children’s Hospital at Albany Medical Center, where she underwent further testing and was given an intravenous therapy.
“She was very lethargic. She had difficulty opening her eyes,” said Dr. Karen Powers, assistant professor of pediatric neurology at Albany Medical Center. “She couldn’t speak. She had difficulty swallowing. She was profoundly weak. She couldn’t move her arms or legs.”
Powers recognized her symptoms as nearly identical to a case she had seen a few years ago while on a fellowship in Richmond, Va., in which a young child suffered from “tick paralysis.”
“It’s a disorder caused by a neurotoxin secreted most commonly by the American dog tick,” Powers said. “It causes an ascending paralysis. Children will present first with difficulty walking or standing as paralysis ascends. The trunk muscles become involved, and there’s difficulty sitting. Then the face muscles are affected, and they have difficulty speaking and swallowing. Eventually, the respiratory muscles become involved, and that can lead to an inability to breathe. Cases can be fatal.”
“It was engorged and about the size of a pencil eraser,” Powers said.
The tick was removed with tweezers.
“Tick paralysis is very rare in this region,” Powers said. “It’s far more common in the South and Pacific Northwest areas of the country. The last case reported in New York state was in 1998.”
The American Journal of Medical Toxicology says only 50 cases of tick paralysis have been well-documented in the U.S. between 1946 and 2006. Powers said the tick-borne disease differs from Lyme disease, which is caused by a bacterium carried by deer ticks.
“With Lyme disease it’s an infection, and some of the ticks have it and some of them don’t,” Powers said. “This toxin is inherent in the tick.”
However, this does not mean all people bitten by American dog ticks will suffer from tick paralysis. “The tick needs to be female and at a certain feeding stage,” the doctor said. “She has to be attached, and the neurotoxin has to be released.”
Tick paralysis most commonly affects small children, Powers said, the thought being the toxin is less potent for adults because of their larger mass. Treatment involves the removal of the tick. “Once the tick is removed, the body clears the toxins and the patient can recover,” Powers said.
According to the state Department of Health, American dog ticks also can carry the bacterium that causes Rocky Mountain spotted fever. Dog ticks are reddish-brown and larger than deer ticks, ranging in size from a match head to a pea. The DOH says that both deer and dog ticks are most active during the spring, early summer and fall.
Little more than 24 hours after the tick was removed, the toddler had regained her speech and her ability to walk. “She was perfectly normal, as if nothing ever happened,” Tomlins said.
She said doctors needed to more aware of the dangers posed by ticks in the area.
“They need to be more educated on how serious a threat ticks can be,” Tomlins said, noting the family contacted several doctors before her daughter’s illness was identified.
The mother, whose home is in a woodsy area, said it was the first time a tick had been found on one of her children.
She advised other parents to double- and triple-check their children for ticks when they come in from playing outside.
“If it happens, don’t play doctor,” Tomlins said. “Go and get help.”
suite à l'émission la maladie de lyme , sur arte , mai 2012
La maladie de Lyme , sur Arte , le 3 mai
Dossier
SWR / © SWR
jeudi, 3 mai 2012 à 22:25
Rediffusions :
05.05.2012 à 11:35
La maladie de Lyme
(Allemagne, 2012, 52mn)
SWR
Réalisateur: Patrick Hünerfeld
16 / 9 HD natif
La maladie de Lyme, transmise par les tiques, peut se déclencher des années après la morsure initiale. Ses conséquences sont-elles aussi alarmantes qu'on le prétend ? Existe-t-il des traitements efficaces ?
Les associations allemandes de patients atteints de borréliose, appelée aussi maladie de Lyme, tirent la sonnette d'alarme. Selon elles, rien qu'en Allemagne, plus d'un million de personnes seraient concernées par cette affection. Derrière de nombreuses douleurs ou maladies chroniques se cacherait une infection bactérienne transmise par une tique, parfois des années plus tôt. Les premiers symptômes sont des rougeurs en anneau qui peuvent apparaître autour de la morsure, parfois accompagnées de fièvre et de douleurs musculaires. Plusieurs mois après l'infection, on peut aussi voir se développer des douleurs articulaires ou des symptômes neurologiques importants. Des milliers de malades potentiels suivent des soins coûteux, alors que les autorités sanitaires affirment qu'un traitement classique par antibiotique est suffisant et mettent en garde contre la propagation volontaire d'informations inquiétantes. À qui se fier ? Le documentaire tente d'éclairer ces positions contradictoires.
nous n'avons rien vu de tel et suite à cette émission ,
France Lyme a décidé de réagir afin de rétablir la vérité
http://www.forumlyme.com/phpBB3/viewtopic.php?f=3&t=4420
c'est ici :
http://www.francelyme.fr/arte2012.html
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