Atteinte de la borréliose chronique persistante , babesia et bartonella ; le déni est grand , battons nous pour la faire connaitre la borréliose de lyme et ses coinfections ; 8 ans de bi et tri therapies d'antibiotiques auxquels j'ai ajouté une partie du protocole Buhner et autres http://francelyme.fr
collecte section Bourgogne
https://www.helloasso.com/associations/association-france-lyme/collectes/section-bourgogne
Lyme disease misdiagnosed as shingles in a 62-year-old man
By Dr. Daniel Cameron.
According to Hansen and colleagues, the man was admitted to the emergency department complaining of epigastric pain that had been ongoing for 4 to 5 weeks. “He described a constant pain with episodic worsening,” writes Hansen. The pain began with a rash in the man’s right upper quadrant area.
Physicians considered several diagnoses. The man had a history of migraines, anxiety, colon polyps and had been treated for gastroesophageal reflux disease (GERD). Small gallbladder stones were present but were not acute.
According to Hansen and colleagues, the man was admitted to the emergency department complaining of epigastric pain that had been ongoing for 4 to 5 weeks. “He described a constant pain with episodic worsening,” writes Hansen. The pain began with a rash in the man’s right upper quadrant area.
Physicians considered several diagnoses. The man had a history of migraines, anxiety, colon polyps and had been treated for gastroesophageal reflux disease (GERD). Small gallbladder stones were present but were not acute.
The man was diagnosed with shingles and prescribed acyclovir and
pregabalin. Despite treatment, he remained ill. His pain increased and
“he developed additional symptoms including nausea, lethargy, decreased
appetite, constipation, decreased size and force of the urinary stream,
and a 5–7 kg weight loss,” writes Hansen.
It wasn't shingles, it was Lyme disease.
Imaging and lab tests were negative and the man was discharged. However, one week later, he was re-admitted to the hospital because “his general practitioner did not find it reasonable that his anxiety could explain his current symptoms,” says Hansen.
The man lived in an area endemic for Lyme disease. Although he did not recall a recent tick bite, he had been bitten previously, so serologic tests for Lyme disease were performed. Because his titers of B. burgdorferi IgG were so high and he had a history of tick bites and a rash, a lumbar puncture was ordered. Results were positive.
The 62-year-old man was diagnosed with Lyme neuroborreliosis. His symptoms, except for fatigue, resolved after a 3-week course of IV ceftriaxone. “His weight is now normalized and he has no problems with constipation,” explains Hansen. “The abdominal pain is almost gone. His main problem is fatigue but this is gradually improving.”
The authors point out that atypical clinical presentations of Lyme neuroborreliosis can occur, including gastrointestinal manifestations because of autonomous dysfunction, as was seen in this case.
Hansen BA, Finjord T, Bruserud O. Autonomous dysfunction in Lyme neuroborreliosis. A case report. Clin Case Rep. 2018;6(5):901-903.
It wasn't shingles, it was Lyme disease.
Imaging and lab tests were negative and the man was discharged. However, one week later, he was re-admitted to the hospital because “his general practitioner did not find it reasonable that his anxiety could explain his current symptoms,” says Hansen.
The man lived in an area endemic for Lyme disease. Although he did not recall a recent tick bite, he had been bitten previously, so serologic tests for Lyme disease were performed. Because his titers of B. burgdorferi IgG were so high and he had a history of tick bites and a rash, a lumbar puncture was ordered. Results were positive.
The 62-year-old man was diagnosed with Lyme neuroborreliosis. His symptoms, except for fatigue, resolved after a 3-week course of IV ceftriaxone. “His weight is now normalized and he has no problems with constipation,” explains Hansen. “The abdominal pain is almost gone. His main problem is fatigue but this is gradually improving.”
The authors point out that atypical clinical presentations of Lyme neuroborreliosis can occur, including gastrointestinal manifestations because of autonomous dysfunction, as was seen in this case.
Hansen BA, Finjord T, Bruserud O. Autonomous dysfunction in Lyme neuroborreliosis. A case report. Clin Case Rep. 2018;6(5):901-903.
La maladie de Lyme fait polémique: un docteur du CHU de Nice a décidé de mener l’enquête
La maladie de Lyme fait polémique: un docteur du CHU de Nice a décidé de mener l’enquête
https://www.nicematin.com/sante/la-maladie-de-lyme-fait-polemique-un-docteur-du-chu-de-nice-a-decide-de-mener-lenquete-
C 'était comme si mes membres pesaient 100 kilos , témoignage , fatigue de Lyme / It used to be as if my limbs weighed one hundred kilos
Tous avec Yoan, malade de Lyme
sudouest.fr
La sœur d’un adolescent de 12 ans atteint de l’affection et ses amies…
Dramatique, stupide et scandaleux
Dramatique, stupide et scandaleux
Un homme âgé d'une cinquantaine d'années consulte un neurologue en CHU pour des douleurs et une faiblesse des membres inférieurs, ainsi que des troubles de la vue.
Après quelques hésitations, un diagnostic de névrite auto-immune est établi. Il est même confirmé doctement. Un traitement par corticoïde à forte dose est alors administré au patient qui signale une aggravation subséquente. Le diagnostic est maintenu néanmoins et le patient reçoit à plusieurs reprises des corticoïdes qui, à chaque fois, déclenchent une aggravation de ses symptômes et signes, au lieu d'induire l'amélioration attendue. Les neurologues s'obstinent tout de même à confirmer ce diagnostic. Ils en viennent à prescrire des immunosuppresseurs. Malgré les récriminations du patient qui les alarme en affirmant que chaque cure thérapeutique l'aggrave, le traitement est poursuivi. Le patient finit par le refuser et se fait alors presque insulter. Toujours est-il que son état continue à s'aggraver et qu'il développe une septicémie avec endocardite septique : aucune bactérie n'est mise en évidence et il est traité par antibiothérapie plurielle probabiliste. Étonnament, ses troubles neurologiques et oculaires s'améliorent sous ce traitement antibiotique. Mais les lésions provoquées par l'endocardite sont telles que le patient doit être opéré du cœur pour un remplacement valvulaire (valvule cardiaque détruite par l'endocardite infectieuse et remplacée par une prothèse valvulaire). Le patient déclare après l'intervention et alors qu'il est toujours sous antibiotiques : "Mes jambes, mes yeux et mon état général ont rarement été en aussi bonne forme, je me sens comme avant le début de ma maladie." Mais le traitement antibiotique prend fin et l'état du patient s'aggrave à nouveau.
Vous l'aurez compris, ce malheureux homme est depuis le début atteint d'une maladie de Lyme chronique active qui, non seulement n'a pas été diagnostiquée, mais a été confondue avec une autre maladie dont le traitement (corticoïdes et immunosuppresseurs) l'a considérablement aggravé. C'est plus que révoltant, son corps est meurtri du fait d'une erreur médicale. C'est un énième médecin de CHU qui a fini par évoquer la maladie de Lyme.
Aujourd'hui, son syndrome Lyme est toujours évolutif et il est très atteint. Il est sous anticoagulant en raison de sa prothèse valvulaire cardiaque et son syndrome Lyme attaque plusieurs organes, en particulier son appareil urinaire et son appareil digestif. Il souffre toujours bien sûr de troubles neurologiques…
Cette histoire est dramatiquement stupide et scandaleuse : à force de nier l'existence de la maladie de Lyme chronique active, le corps médical fait des erreurs de diagnostic et va jusqu'à prescrire des traitements qui aggravent l'état des personnes malades de Lyme. Ici, ce sont des corticoïdes et des immunosuppresseurs, là ce sont des antidépresseurs et des neuroleptiques. Non seulement on ne diagnostique pas le Lyme chronique actif, mais on l'aggrave par des traitements inconsidérés et dangereux. La situation est vraiment très grave, c'est un monstrueux scandale sanitaire.
Un homme âgé d'une cinquantaine d'années consulte un neurologue en CHU pour des douleurs et une faiblesse des membres inférieurs, ainsi que des troubles de la vue.
Après quelques hésitations, un diagnostic de névrite auto-immune est établi. Il est même confirmé doctement. Un traitement par corticoïde à forte dose est alors administré au patient qui signale une aggravation subséquente. Le diagnostic est maintenu néanmoins et le patient reçoit à plusieurs reprises des corticoïdes qui, à chaque fois, déclenchent une aggravation de ses symptômes et signes, au lieu d'induire l'amélioration attendue. Les neurologues s'obstinent tout de même à confirmer ce diagnostic. Ils en viennent à prescrire des immunosuppresseurs. Malgré les récriminations du patient qui les alarme en affirmant que chaque cure thérapeutique l'aggrave, le traitement est poursuivi. Le patient finit par le refuser et se fait alors presque insulter. Toujours est-il que son état continue à s'aggraver et qu'il développe une septicémie avec endocardite septique : aucune bactérie n'est mise en évidence et il est traité par antibiothérapie plurielle probabiliste. Étonnament, ses troubles neurologiques et oculaires s'améliorent sous ce traitement antibiotique. Mais les lésions provoquées par l'endocardite sont telles que le patient doit être opéré du cœur pour un remplacement valvulaire (valvule cardiaque détruite par l'endocardite infectieuse et remplacée par une prothèse valvulaire). Le patient déclare après l'intervention et alors qu'il est toujours sous antibiotiques : "Mes jambes, mes yeux et mon état général ont rarement été en aussi bonne forme, je me sens comme avant le début de ma maladie." Mais le traitement antibiotique prend fin et l'état du patient s'aggrave à nouveau.
Vous l'aurez compris, ce malheureux homme est depuis le début atteint d'une maladie de Lyme chronique active qui, non seulement n'a pas été diagnostiquée, mais a été confondue avec une autre maladie dont le traitement (corticoïdes et immunosuppresseurs) l'a considérablement aggravé. C'est plus que révoltant, son corps est meurtri du fait d'une erreur médicale. C'est un énième médecin de CHU qui a fini par évoquer la maladie de Lyme.
Aujourd'hui, son syndrome Lyme est toujours évolutif et il est très atteint. Il est sous anticoagulant en raison de sa prothèse valvulaire cardiaque et son syndrome Lyme attaque plusieurs organes, en particulier son appareil urinaire et son appareil digestif. Il souffre toujours bien sûr de troubles neurologiques…
Cette histoire est dramatiquement stupide et scandaleuse : à force de nier l'existence de la maladie de Lyme chronique active, le corps médical fait des erreurs de diagnostic et va jusqu'à prescrire des traitements qui aggravent l'état des personnes malades de Lyme. Ici, ce sont des corticoïdes et des immunosuppresseurs, là ce sont des antidépresseurs et des neuroleptiques. Non seulement on ne diagnostique pas le Lyme chronique actif, mais on l'aggrave par des traitements inconsidérés et dangereux. La situation est vraiment très grave, c'est un monstrueux scandale sanitaire.
TEST ELISA : SUPERCHERIE - la suite - SEUILS ARBITRAIRES DES TESTS ELISA
TEST ELISA : SUPERCHERIE - la suite - SEUILS ARBITRAIRES DES TESTS ELISA
Le seuil à partir duquel la sérologie est considérée comme positive a été déterminé de façon tout à fait arbitraire, afin que la prévalence (nombre de patients atteints) de la maladie ne puisse dépasser 5%.
Voilà comment on écrit les résultats des tests à l'avance pour avoir les résultats qu'on veut ! Je cite : "Les recommandations de l’EUCALB sont de tester au moins 100 témoins négatifs de la population normale de la même zone géographique et de vérifier qu’au plus 5 % de ces témoins sont positifs au seuil choisi."
Le seuil à partir duquel la sérologie est considérée comme positive a été déterminé de façon tout à fait arbitraire, afin que la prévalence (nombre de patients atteints) de la maladie ne puisse dépasser 5%.
Voilà comment on écrit les résultats des tests à l'avance pour avoir les résultats qu'on veut ! Je cite : "Les recommandations de l’EUCALB sont de tester au moins 100 témoins négatifs de la population normale de la même zone géographique et de vérifier qu’au plus 5 % de ces témoins sont positifs au seuil choisi."
Or, il n’est pas possible de déterminer les populations témoin et
malades de manière fiable. Donc il n’est pas possible de calculer
sensibilité ni spécificité d’un test quel qu’il soit actuellement, nous
l'avons vu précédemment.
La valeur de 5 % est ainsi arbitraire, déterminée pour une population dite témoin dont on sait que certains ont certainement une maladie de Lyme plus ou moins grave, souvent non diagnostiquée. Bref, le "fibromyalgique" donnera son sang en disant que tout va bien et qu'il n'y a pas Lyme...
Référence :
M.-V. Assous. Méthodes du diagnostic biologique au cours des différentes manifestations de la borréliose de Lyme
Laboratory methods for the diagnosis of clinical forms of Lyme borreliosis
Médecine et maladies infectieuses
Volume 37, n° 7-8 pages 487-495 (juillet-août 2007)
La valeur de 5 % est ainsi arbitraire, déterminée pour une population dite témoin dont on sait que certains ont certainement une maladie de Lyme plus ou moins grave, souvent non diagnostiquée. Bref, le "fibromyalgique" donnera son sang en disant que tout va bien et qu'il n'y a pas Lyme...
Référence :
M.-V. Assous. Méthodes du diagnostic biologique au cours des différentes manifestations de la borréliose de Lyme
Laboratory methods for the diagnosis of clinical forms of Lyme borreliosis
Médecine et maladies infectieuses
Volume 37, n° 7-8 pages 487-495 (juillet-août 2007)
De la même manière, quand un article alarmant paraît sur la maladie de
Lyme, par exemple, il entraîne aussitôt de multiples autodiagnostics
erronés."
Il y a du vrai dans cet article, mais nous continuerons à diffuser des articles alarmants sur les MVT.
Une MVT ne "s'auto-diagnostique pas". Mais les médecins doivent aussi prendre leur part de responsabilité lorsqu'ils provoquent chez les malades une errance diagnostique de parfois plusieurs années.
Il y a du vrai dans cet article, mais nous continuerons à diffuser des articles alarmants sur les MVT.
Une MVT ne "s'auto-diagnostique pas". Mais les médecins doivent aussi prendre leur part de responsabilité lorsqu'ils provoquent chez les malades une errance diagnostique de parfois plusieurs années.
madame.lefigaro.fr
Fibromyalgie et maladie de lyme
vulgaris-medical.com
Classée
fibromyalgique pendant 5 ans, je viens de faire le test de la maladie
de lyme. je suis positive. comme beaucoup de fibro, les médecins
préfèrent nous classer dans cette pseudo maladie, et oublient de nous
faire ce test, car ils ne savent pas soigner lyme. Attention, le test
n'étant pas ...
As Tick-Borne Disease Spreads, Do We Need More Vaccines?
forbes.com
Tick-borne illnesses are on the up. With a vaccination already effective…
LYME SCI: Nerve damage shown in patients with chronic Lyme symptoms
Nerve damage shown in patients with chronic lyme https://www.lymedisease.org/nerve-damage-chronic-lyme/?fbclid=IwAR3d3Jy-OUbeY7obw4RXlznJ8tBIC2CcT-hjaziNQvYylUkydd0J-rnf07o
Biology students research the spread of cat scratch fever through ticks
was the first person to present cases of Bartonella in Lyme patients in
2001. My first patient had a bulls eye rash followed by a vesicular
oozing rash. Her Dermatologist couldn't
figure out what it was, so when I saw it, it reminded me of a picture I
had seen during medical school of cat scratch disease. She went on to
get transverse myelitis and had positive PCR's for both Lyme and
Bartonella in both spinal fluid and blood. She was admitted and followed
by myself and one of the top Infectious Disease docs in NJ at the time.
Before our eyes she turned into a perfect case of sarcoidosis: lung
nodules, hilar lymphadenopathy and "neuro-sarcoidosis" based upon
multiple spinal cord lesions. She went to a specialist in
Neurosarcoidosis who insisted that she be treated with steroids. I
agreed because she had lost control of bowel and bladder function, but
we treated her with high does IV antibiotics and anti-virals. When she
was trasferred to a Rehab center, I insisted that they allow her to
continue her IV antibiotics. Her symptoms totally resolved apart from a
mild foot drop!
Now it is 2019 and it is finally being taken seriously!! Of course, Dr. Breitschwerdt has published extensively on Bartonella cultures as has Dr. Raoult in France and Dr. Kempf in Germany.
Always happy to see research, even if it is 18 years later!!
Now it is 2019 and it is finally being taken seriously!! Of course, Dr. Breitschwerdt has published extensively on Bartonella cultures as has Dr. Raoult in France and Dr. Kempf in Germany.
Always happy to see research, even if it is 18 years later!!
Le Dr Kierzek a été hospitalisé après avoir contracté la maladie de #Lyme avec une complication très particulière du coeur.
Reportage #LCI: Kierzek, le docteur Hospitalisé
Le Dr Kierzek a été hospitalisé après avoir contracté la maladie de #Lyme avec une complication très particulière du coeur.
Puis c'est plus de 70000 cas/an en 2018!pas 12 à 15000😤
Le Dr Kierzek a été hospitalisé après avoir contracté la maladie de #Lyme avec une complication très particulière du coeur.
L'erythème n'est pas systématique dr #Kierzek, ceci est documenté, et il y en a aussi dans le pourtour méditerranéen.
Bref, elle n'est pas si à la mode que ça cette maladie, ni rare!🙄Puis c'est plus de 70000 cas/an en 2018!pas 12 à 15000😤
video ici
et son cas n'est pas rare loin de là !!!
de plus il touche le corps de la tique ! grrrr
si pas de rougeur pas de lyme ? il raconte n'importe quoi je n'ai jamais eu d'erytheme migrant !!!
Emergence of Lyme disease as a social problem: analysis of discourse using the media content. - PubMed - NCBI
Infectious
disease doctors in France working with social scientists are
desperately trying to play down the Lyme disease problem....
ncbi.nlm.nih.gov
Eur J Public Health. 2019 Nov 5. pii: ckz198. doi: 10.1093/eurpub/ckz198. [Epub ahead of print]
les négationnistes n'ont donc que ça à faire , attaquer les meilleurs médecins lyme en France et les descendre .......cela montre bien à quel point ils peuvent être mauvais que ça soit au point de vue humain ou médical puisque de toute façon ceux les patients qu'ils ont rejetés ne retournent jamais les voir ....
ce n'est vraiment pas en leur honneur de cracher sur les autres de cette façon , c'est pitoyable
negationnists don't have anything else to do but attack the best doctors in France , how shameful ; we understand why they never see their patients again since they told them they don't have lyme disease
How many Lyme disease patients don't meet strict diagnostic criteria - Daniel Cameron, MD, MPH
Study finds majority of patients referred to an infectious disease
clinic actually did not have Lyme disease. However, on closer
inspection, the reader will find that only patients who met IDSA or CDC
criteria were included in the study. More in today's #LDScience blog.
danielcameronmd.com
How many Lyme disease patients don't meet strict diagnostic criteria - Daniel Cameron, MD, MPH
Study finds majority of patients referred to an infectious disease clinic actually did not have Lyme disease. However, on closer inspection, the reader will find that only patients who met IDSA or CDC criteria were included in the study. More in today's #LDScience blog.
même chose chez nous !!!!!!!!! la spilf fait les mêmes études et ensuite c'est la catastrophe
ils n'ont strictement rien à faire des malades
même pas honteux de ne pas honorer leur serment d'hippocrate
Yale doctor says children don't have Lyme, but medically unexplained symptoms - Daniel Cameron, MD, MPH
danielcameronmd.com
Yale doctor says children don't have Lyme, but medically unexplained symptoms - Daniel Cameron, MD, MPH
vivement qu'il se prenne une MVT celui là il comprendra par où on passe
Essential Oils with High Activity Against Stationary Phase Bartonella Henselae
preprints.org
Bartonella
henselae is a fastidious Gram-negative intracellular bacterium which
can cause cat scratch disease, endocarditis in humans and animals as…
Tick disease that killed former senator is rare -
The
Powassan virus is in the news again. This time a former U.S. senator
from North Carolina died from medical complications three years after
suffering from encephalitis.
“According to published reports, Hagan is believed to have been bitten by a tick while hiking in the Blue Ridge Mountains in Virginia during the Thanksgiving holiday in 2016.” writes Greg Barnes in the NORTH CAROLINA HEALTH NEWS. He added. “Tick-borne diseases such as Powassan can spread within 15 minutes from the time of the bite”
“According to published reports, Hagan is believed to have been bitten by a tick while hiking in the Blue Ridge Mountains in Virginia during the Thanksgiving holiday in 2016.” writes Greg Barnes in the NORTH CAROLINA HEALTH NEWS. He added. “Tick-borne diseases such as Powassan can spread within 15 minutes from the time of the bite”
Let us pray for the family.
You can read more on their website at https://www.northcarolinahealthnews.org/…/virus-from-tick-…/
You can read more on their website at https://www.northcarolinahealthnews.org/…/virus-from-tick-…/
northcarolinahealthnews.org
Powassan virus causes the death of former Senator Kay Hagan from Greensboro, NC.
"She had suffered from acute brain inflammation, or encephalitis, in 2016, and since then had been dealing with associated complications such as pneumonia and neurologic decline."
forbes.com
Former U. S. Senator Kay Hagan passed away due to a rare…
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