de Judith Albertat
L'expression de la maladie de Lyme n'est pas la cause de tous les maux, comme je le dis depuis des années, mais la CONSEQUENCE de notre mode de vie, de notre civilisation, de nos choix de confort, de nos demandes et acceptations. Dans lesquels on peut compter les vaccins actuels ( et futurs??...) qui contiennent des nanoparticules d'éléments traces toxiques , des virus et rétrovirus ( tiens tiens????....), divers autres agents infectieux. Voir le dossier de la Chambre parlementaire italienne paru en 2018, ou encore les travaux du Dr Judy MIKOWITS.
De tout cela on en revient indéfiniment aux toxiques environnementaux divers, additifs, amalgames, CEM, médicaments et compléments alimentaires compris.Le meilleur moyen d'en sortir, c'est détoxiquer la cellule et la mitochondrie, et réparer l'intestin....
la persistance des symptômes peut être due à de nombreux facteurs, et principalement à la toxicité environnementale, la dysbiose et principalement la candidose associée, et le "terrain" au sens le plus large. Par ailleurs les ré-infestations sont toujours possibles, pour ne pas dire fréquentes, et générées par de nombreux insectes hématophages: puces, aoûtats, araignées, moustiques, mouches , etc.. Sur un "terrain" fragilisé, cela peut faire des dégâts. Je pense que le terme "syndrome lyme chronique" est impropre, il s'agit plutôt d'un SIMS comme l'a très bien défini R.HOROWITZ, SIMS qui peut être provoqué par de nombreux facteurs et également sans aucune piqûre de tique: tout le monde a été un jour ou l'autre piqué par des moustiques, des puces et autres insectes hématophages, et les symptômes n'apparaitront que sur un "terrain" donné: intoxiqué, et dysbiotique. Les parasites sont en effet un vrai problème, il faut les traiter sur du très long terme. Il ne sert à rien de s'acharner sur un pathogène ( borrélie) durant des 10 ans et plus, quand le problème est ailleurs et que l'on connait de plus la persistance de la bactérie après des années d'antibiotiques divers. Les personnes en bonne santé guérissent très bien, et souvent sans traitement, de toutes ces infestations: question d'immunité et de microbiote, une fois encore, et c'est sur cet axe qu'il faut développer les "traitements".
tout à fait d'accord avec Judith
ce qui nous empoisonne empêche toute guérison
